Chronique

Dans l’arrondissement de Malmedy, les premiers enfants sont vaccinés contre la variole.

Sources

• Norbert Thunus, Les premières vaccinations dans notre arrondissement, in : Malmedy-Folklore, t. 62, 2009-2010, p. 151.

Une première machine à vapeur est installée dans la ville.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 63

Les États voisins signent à Aix-la-Chapelle un traité selon lequel, entre autres, le Galmeiberg de La Calamine devient un territoire neutre.

Sources

• Herbert Ruland

En Prusse, l’école devient obligatoire. Les directives prussiennes deviennent alors également déterminantes pour les écoles de l’actuelle Belgique de l’Est.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 59

La première caisse de primes et d’épargne est installée à Eupen.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 60

La route nationale entre Eupen et Monschau est ouverte.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 60

La population active d’Eupen exprime son mécontentement. Leurs conditions de vie ne sont pas satisfaisantes. Ainsi, cette année, pas moins de trois débordements ont lieu :

• Sur la Werthplatz, les ouvriers protestataires attendent le 12 mars la répartition du capital de la caisse maladie ouvrière.
• Le 20 mars, des vitres sont brisées.
• Une violente collision se produit le 21 juillet. Les ouvriers en colère se défendent contre les militaires.  Un fou meurt.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 63

Après quatre ans de travaux, l’église protestante de la paix peut ouvrir ses portes sur la piste du Klötzer.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 60

L’église du Sacré-Cœur est inaugurée sur le Heidberg.

La route d’Eupen à Malmedy est ouverte.

Une nouvelle chambre de commerce est créée à Eupen.  Elle remplace la chambre consultative de l’époque française.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 61

Sources

• Herbert Ruland

Ce jour-là, l’un des derniers loups de l’arrondissement de Malmedy est probablement abattu dans la forêt d’Emmels par Michael Zangerlé. Un autre tir est attesté en 1870 sur la Baraque Michel. Les autorités prussiennes avaient fortement encouragé la chasse aux loups en accordant des primes élevées pour les animaux abattus.

Sources

• Johann Wiesemes, Forêt et agriculture, dans : Nidrum. Entre lutte pour la vie et joie de vivre, tutelle et autodétermination, Nidrum 1998, p. 224-277, ici p. 254-257.

A Eupen, le choléra fait 192 victimes.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 61

L’archevêque de Cologne, Paul, consacre l’église Saint-Joseph sous la Haas. – L’église est en construction depuis 1854 et ne sera achevée qu’en 1869.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 60

Pour la dernière fois, l’abattage d’un loup est signalé aux autorités prussiennes et récompensé par une prime. Ce tir a été effectué à la Baraque Michel par l’aubergiste Johann Joseph André de Bévercé.

Sources

• Johann Wiesemes, Forêt et agriculture, dans : Nidrum. Entre lutte pour la vie et joie de vivre, tutelle et autodétermination, Nidrum 1998, p. 224-277, ici p. 254-257

L’archevêque de Cologne crée une paroisse Saint-Joseph.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 61

Une conséquence du Kulturkampf : sur le Heidberg, l’école supérieure de jeunes filles, y compris le pensionnat des récollets qui y était rattaché, est fermée. Une école privée pour filles est alors créée dans les locaux du couvent. – En 1888, les recollettes reviennent et dirigent à nouveau elles-mêmes l’enseignement.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 61

Une liaison ferroviaire Eupen-Raeren est ouverte.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

Un établissement Kneipp est créé à Eupen.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

Inauguration de la ligne de chemin de fer secondaire reliant la ville belge de Dolhain à la ville basse d’Eupen.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

De jeunes Malmédiens, mécontents des efforts de germanisation de la Wallonie prussienne par l’Empire allemand, fondent le Club Wallon. Le père spirituel de ce groupe est l’abbé Nicolas Pietkin. Il compte parmi ses compagnons d’armes son neveu Henri Bragard, l’abbé Bastin et Guillaume Bodet.

Sources

• H. Christmann_139 ; http://www.rcw.be/historique.php?PHPSESSID=649d98031c57256e550f13f9af39819b (personne originale : Henri Bragard)

Le « Journal d’Eupen » est publié pour la première fois.  Son propriétaire la vendra en 1909.

Sources

• H. Christmann_22 ; A. Minke, Eupen 1974, p. 62

Ouverture de l’abattoir d’Eupen.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

Publication du nouveau « Journal des citoyens

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

La feuille officielle est promue par le Landrat et remplacée plus tard par le Landbote.

Sources

• Christmann_34

Heinrich Bischoff, germaniste de l’ancienne Belgique, est l’auteur de l’ouvrage « Unsere dritte Nationalsprache » (Notre troisième langue nationale). Le professeur de langue et de littérature allemandes à l’Université de Liège publie des extraits de ce travail dans les Eupener Nachrichten au début des années 1930.

Sources

• Christmann, H. : Presse et communication sociale à Eupen-Malmedy entre les deux guerres mondiales, p. 283

L’éditeur du « Eupener Zeitung » vend le journal, qui reparaît ensuite sous le nom d' »Eupener Nachrichten ».

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 62

La société Esch & Co acquiert le journal citoyen d’Eupen et fonde les Eupener Nachrichten. La feuille se mue en un tirage de 2000 exemplaires.

Sources

• H. Christmann_23

Plusieurs dirigeables participant au concours international de vol à Cologne ont survolé Saint-Vith et les localités environnantes.

Sources

• SVZ, 3.7.1909

Johanna Schumacher, de Malmedy, est la première femme de l’arrondissement de Malmedy à avoir réussi l’examen du baccalauréat au lycée de garçons de la ville d’Aix-la-Chapelle. Elle a fréquenté l’école supérieure de jeunes filles pendant deux ans, un pensionnat belge pendant cinq ans, puis a acquis les connaissances nécessaires en latin et en mathématiques grâce à des cours privés. En 1910, elle est finalement entrée en seconde au lycée de jeunes filles St. Ursula à Aix-la-Chapelle. La bachelière souhaite faire des études de médecine.

Sources

• SVZ, 21.2.1914

Dès le début de la guerre, les maires mettent la population à rude épreuve. Les infractions aux ordres ou le sabotage sont punis de la peine de mort.ä

Sources

• Doepgen_60

Le chancelier von Bethmann von Hollweg admet lors de la séance du Reichstag avoir violé la neutralité de la Belgique, garantie par la communauté internationale, en envahissant le pays.

Sources

• Doepgen_26

A peine deux semaines après l’invasion allemande en Belgique, la forteresse de Liège doit être abandonnée.

Sources

• Doepgen_28

Le ministère de l’Intérieur prussien introduit une surveillance étroite des stocks et une limitation des denrées alimentaires.

Sources

• Doepgen_60

Johanna Schumacher, de Malmedy, est la première femme de l’arrondissement de Malmedy à avoir réussi l’examen du baccalauréat au lycée de garçons de la ville d’Aix-la-Chapelle. Elle a fréquenté l’école supérieure de jeunes filles pendant deux ans, un pensionnat belge pendant cinq ans, puis a acquis les connaissances nécessaires en latin et en mathématiques grâce à des cours privés. En 1910, elle est finalement entrée en seconde au lycée de jeunes filles St. Ursula à Aix-la-Chapelle. La bachelière souhaite faire des études de médecine.

Sources

• SVZ, 21.2.1914

Dès le début de la guerre, les maires mettent la population à rude épreuve. Les infractions aux ordres ou le sabotage sont punis de la peine de mort.ä

Sources

• Doepgen_60

Le chancelier von Bethmann von Hollweg admet lors de la séance du Reichstag avoir violé la neutralité de la Belgique, garantie par la communauté internationale, en envahissant le pays.

Sources

• Doepgen_26

A peine deux semaines après l’invasion allemande en Belgique, la forteresse de Liège doit être abandonnée.

Sources

• Doepgen_28

Le ministère de l’Intérieur prussien introduit une surveillance étroite des stocks et une limitation des denrées alimentaires.

Sources

• Doepgen_60

23 personnalités belges s’expriment depuis la France. Dans leur mémorandum adressé au roi Albert, au gouvernement belge et aux représentants diplomatiques à l’étranger, ils s’expriment sur les réparations et les conditions de paix possibles.

Sources

• Doepgen_30

Le président américain présente au Congrès le soi-disant programme de paix mondiale. Cette vision doit devenir la base des négociations de paix ultérieures.

Sources

• Doepgen_63

Devant le Congrès, le président américain Wilson proclame le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Sources

• Doepgen_63

Parmi ceux qui critiquent les efforts de germanisation de l’Empire allemand, on trouve surtout des Wallons probelges. Parmi eux, le clergé catholique, la bourgeoisie française, cultivée et aisée de la ville de Malmedy et le soi-disant « Club Wallon » d’Henri Bragard. Ce groupe de population s’efforce très tôt d’obtenir l’incorporation de Malmedy à la Belgique en adressant des requêtes au roi ou au ministre belge des Affaires étrangères. de la conférence de paix. – Ce groupe intensifiera ses efforts pendant la consultation populaire.

Sources

• Christmann, H. : Presse et communication sociale à Eupen-Malmedy entre les deux guerres mondiales, p. 139 [Fussnote]f.

Abolition de la censure militaire liée à la guerre

Sources

• Christmann_41

Le Landrat de Malmedy, v. Korff, rapporte au président du gouvernement d’Aix-la-Chapelle que la Belgique a l’intention d’organiser un référendum en Wallonie prussienne sur la cession du territoire.

Sources

• Doepgen_84

La Grande Guerre prend fin près de Compiègne avec la signature de la convention d’armistice.

22 divisions de la 17. et Les troupes de la 1ère et de la 18ème Armée sont en train de battre en retraite. Les soldats se dirigent vers le Rhin en traversant la région des Fagnes et de l’Eifel. (Du 12.11.1918 au 29.11.1918)

Sources

• Doepgen_60

Pendant la période de transition des commandants locaux successifs et jusqu’à l’occupation par les Belges, les médias imprimés sont soumis à une censure ouverte de la presse. Preuve en est la présence de zones blanches ou d’indications telles que le vide de la censure dans les journaux. Le Conseil des Cinq Alliés abolit la censure en juillet 1919.

Sources

• H. Christmann_43f ; H. Christmann_53

Pendant la période de transition de l’occupation, les réunions publiques de toute nature sont soumises à autorisation. Cela ne comprend pas seulement les réunions politiques, les réunions électorales ou les manifestations. Même les manifestations de carnaval doivent être annulées.

Sources

• H. Christmann_45

Pendant la période des commandements transitoires, le comportement public est réglementé de telle sorte que les drapeaux des régiments, les représentants civils ou en uniforme des forces d’occupation doivent être respectés.

Sources

• H. Christmann_46

Des troupes victorieuses entrent dans les arrondissements d’Eupen et de Malmedy. (Du 01.12.1918 au 21.12.1918)

Sources

• Doepgen_61

L’arrondissement de Malmedy passe sous occupation anglaise. A cette occasion, les Anglais autorisent les Belges à installer une mission militaire dans la ville.

Sources

• H. Christmann_41

En décembre, le Comité de Politique Nationale est porté sur les fonts baptismaux. Les hommes réunis autour du jeune avocat Pierre Nothomb, le libéral Léon Hennebicq ainsi que les socialistes Jules Destrée et Louis Piérard, imaginent une Belgique plus grande et plus résistante, qui comprendrait à l’avenir le Luxembourg, le Limbourg néerlandais, la Zélande, une partie de la Rhénanie et de l’Afrique germanophone. L’annexion envisagée d’Eupen-Malmedy fait partie du projet et doit donc être promue de manière positive auprès de l’opinion publique belge. En Wallonie prussienne notamment, on invite dans cette intention à des conférences qui ont pour thème, entre autres, les mérites de la constitution belge.

Sources

• H. Christmann_59

L’artillerie anglaise fut suivie par des Belges de toutes armes qui occupèrent les mairies ; des commandants locaux belges prirent le commandement.

Sources

• H. Christmann_41

Depuis le début de l’occupation anglaise, il est interdit de distribuer des journaux de la rive droite du Rhin dans le territoire occupé de la rive gauche. Les journaux en provenance du territoire occupé par les Britanniques sont soumis à autorisation. Ces restrictions ont été assouplies, voire supprimées, à partir des années 1920. – Parmi les livres interdits figuraient surtout des livres d’histoire et des manuels scolaires allemands.

Sources

• H. Christmann_47f

Un commissaire belge prend en charge l’administration de Moresnet-Neutre, en représailles, dit-on, à un comportement identique du côté allemand lors de l’occupation.

Sources

• Doepgen_84

Les commandements locaux anglais et français limitent la liberté de communication, notamment en bloquant le courrier et le fret. Pour faciliter la censure, des règles s’appliquent au courrier. Le courrier adressé à l’administration française doit être rédigé en français. Les appels téléphoniques nécessitent une autorisation.

Sources

• H. Christmann_51

Le commandement local d’Eupen n’était que depuis peu aux mains des Français, lorsque le drapeau français a été hissé sur l’hôtel de ville d’Eupen.

Sources

• H. Christmann_41

Après le départ des Anglais et des Belges, le commandement local d’Eupen passa finalement aux mains des troupes d’occupation françaises. Le drapeau tricolore est hissé sur la mairie.

Sources

• H. Christmann_41

Comme les Eupenois, l’arrondissement de Malmedy a rejoint le Boerenbond catholique flamand. Il disposait de sa propre laiterie centrale et de sa propre caisse de prêt et publiait la revue spécialisée Der Landbote.

Sources

• K. Pabst_376

Dans le cadre des élections à l’Assemblée nationale allemande ou à l’Assemblée prussienne, le général anglais Foch accorde la liberté de presse, de réunion et d’expression à condition de maintenir l’ordre public et d’avoir des relations irréprochables avec les autorités d’occupation.

Sources

• H. Christmann_52

Le gouverneur Baltia estime que le journal est germanophobe et belge. Pendant la période de la consultation populaire, le porte-voix probelgique de l’éditeur Henri Bragard est sous-titré Boches, votez pour votre patrie ! – La Warche s’éteint quelques mois après la fin du régime de Baltia.

Sources

• H. Christmann_94

Le journal en langue allemande et en vieux belge « Die Fliegende Taube », qui paraît à Aubel, trouve un fort débouché à Eupen, Malmedy et Saint-Vith.

Sources

• Christmann_116

Le bourgmestre d’Eupen, le comte Wolff Metternich, s’adresse dans une lettre au président américain Wilson. Son objectif : le maintien d’Eupen-Malmedy au sein de l’Empire allemand. Sa pétition reste toutefois sans succès à l’approche de l’annexion des arrondissements envisagée par la Belgique.

Sources

• H. Christmann_160f. (Personne originale : Comte Wolff METTERNICH)

La convocation de la conférence de paix incite les gouvernements participants à clarifier leurs objectifs respectifs. La politique de sécurité et le droit à l’autodétermination des peuples sont des critères particuliers qui passent au premier plan. (Du 18.01.1919 au 21.01.1919)

Sources

• Doepgen_65

L’occupation belge mise sur le contrôle administratif et désigne les contrôleurs civils Xhaflaire pour Eupen, Schnorrenberg pour Malmedy et Kept pour Saint-Vith.

Sources

• H. Christmann_50

Le commandant en chef des troupes d’occupation alliées, le général Foch, interdit la tenue d’élections municipales.

Sources

• H. Christmann_49 (Personne originale : Général Ferdinand FOCH (1851-1929))

En février 1919, le conseil d’arrondissement, ou plutôt les représentants élus du peuple de l’arrondissement de Malmedy, se prononcent majoritairement contre le rattachement à la Belgique. Parallèlement, le droit à l’autodétermination des peuples ainsi qu’un référendum général et secret sont revendiqués.

Sources

• H. Christmann_156

La représentation populaire de la région, élue au Kreistag de Malmedy, se prononce pour le maintien en Allemagne. Bien que 10 des 24 représentants votants soient absents, les 14 présents se prononcent à l’unanimité en faveur de la Prusse.

Sources

• Doepgen_91

Le directeur de la société minière Vieille Montagne et quelques propriétaires fonciers d’origine belge font circuler en février et mars une pétition dans certaines mairies de l’arrondissement d’Eupen. Environ 500 personnes signent une pétition en faveur du rattachement de l’arrondissement à la Belgique.

Sources

• Doepgen_89

Le Dr Schiltz, pharmacien né à Malmedy et travaillant à Saint-Vith, initie une campagne pro-allemande. L’administration allemande dans son dos, il fait dresser des listes de la population pour protester contre l’annexion d’Eupen-Malmedy. Pendant une rotation de 14 jours de la liste, plus de 50% des germanophones et environ 1.200 Wallons s’inscrivent.

Sources

• H. Christmann_160 ; Doepgen_92

Résolution [Entschluss?] de la majorité du conseil municipal de Malmedy, qui suggère à la Conférence de paix de Paris l’annexion de Malmedy et des arrondissements voisins de l’Eifel à la Belgique.

Sources

• Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Politique du gouvernement et des partis 1914-1940 (1964), p. 274

Léon Xhaflaire pour Eupen et Adolf Schnorrenberg pour Malmedy interviennent en tant que contrôleurs civils.

Sources

• Doepgen_99

La délégation allemande pour la paix soumet ses observations sur le projet de traité. Elle nourrit encore l’espoir d’une révision des articles concernant Eupen, Malmedy et Moresnet. La Société des Nations supranationale doit surveiller la décision de la population.

Sources

• Doepgen_83

Lorsque les exigences de cession de territoires du projet de traité de paix de Versailles sont connues, des réflexions sont également menées sur le détachement des doyennés ruraux d’Eupen, de Malmédy et de Saint-Vith, qui appartiennent à l’archevêché de Cologne, et sur leur attribution à un évêché belge (Liège et/ou Namur). Alors que l’archevêque de Cologne, von Hartmann, proteste énergiquement contre une telle séparation, le gouvernement belge s’efforce avec zèle d’empêcher l’influence du clergé allemand sur la population dans la région de la cession. – L’institution compétente de la Curie vaticane est en principe prête à placer le territoire sous la responsabilité d’un évêque belge, mais adopte dans un premier temps une attitude attentiste jusqu’à ce que l’évolution du droit civil soit terminée.

Sources

W. Jousten_56-79 ; K. Pabst_1982_29-34 ; K. Pabst : Eupen-Malmedy in der belg. Politique du gouvernement et des partis 1914-1940 (1964), p.316-319

Après que les troupes françaises ont quitté l’arrondissement de Malmedy, les Belges occupent cette position.

Sources

• H. Christmann_41

Le président de la Conférence de la paix, Clemenceau, réaffirme la liberté de décision des Eupen-Malmédiens, mais rejette les idées de révision des délégués allemands. Ses arguments : Eupen-Malmedy a été injustement séparée du Limbourg, de Liège et du Luxembourg en 1814/15. Le camp d’Elsenborn et les chemins de fer stratégiques ont également été construits par le militarisme allemand à des fins d’attaque.

Sources

• Doepgen_83

Le traité de Versailles est signé. On y trouve la loi sur le gouvernement des territoires rattachés à la Belgique. Celle-ci est également appelée dans la littérature loi-cadre, qui déterminera le statut juridique des parties du pays nouvellement acquises au cours des années suivantes.

En 1919, le gouvernement du Reich crée le service Eupen-Malmedy au sein du ministère des Affaires étrangères à Berlin. Il a pour mission de trouver les moyens de faire comprendre à la population d’Eupen-Malmedy l’intérêt que le gouvernement du Reich porte à son maintien dans l’Empire allemand. – Ce n’est qu’en janvier 1920 que l’unité intensifie ses efforts et active des associations publiques et privées comme instances de médiation.

Sources

• H. Christmann_144

Le ministre des Affaires étrangères Hymans a accueilli les Eupen-Malmédiens dès la fin juillet dans une proclamation à la Chambre en tant que nouvelle population au sein de la communauté nationale. Le gouvernement belge se montre dès lors tout aussi offensif dans la presse, voire par des campagnes d’affichage, afin de s’attirer les faveurs d’une grande partie des Eupen-Malmédiens. – Tous les doutes possibles et imaginables concernant le maintien des arrondissements d’Eupen et de Malmedy en Belgique sont ainsi clairement et rapidement écartés.

Sources

• H. Christmann_56

Après l’abandon de la censure par les occupants anglais et français en juillet 1919, l’occupation belge maintient son bureau de censure à l’hôtel de ville d’Eupen. En août de la même année, elle en installe également une à Malmedy. – L’intention belge ne vise pas seulement un équilibre entre Eupen et Malmedy, mais vise un exercice plus strict de la censure.

Sources

• H. Christmann_53

Ce n’est que le 6 août 1919 que le général anglais Foch accède à la demande belge d’administration autonome de l’arrondissement de Malmedy. Il charge le belg. Le Ministère des Affaires étrangères invite les autorités allemandes à occuper et à administrer elles-mêmes l’arrondissement de Malmedy.

Sources

• H. Christmann_42

Suite à la reprise de l’arrondissement de Malmedy par les autorités belges, un escadron de cavalerie belge s’installe dans l’arrondissement. Ils s’installent également en garnison à Eupen et au camp d’Elsenborn. (Du 11.08.1919 au 12.08.1919)

Sources

• H. Christmann_42 ; Doepgen_101

La Belgique demande à la Société des Nations la souveraineté étatique définitive sur le territoire annexé.

L’annexion belge de Malmedy est ainsi réalisée de facto.

Sources

• Pabst Eupen-Malmedy en Belgique. Politique du gouvernement et des partis 1914-1940 (1964), p. 276

Le ministre belge des Affaires étrangères Hymans est l’auteur du projet de loi qui doit régir l’administration de la région d’Eupen-Malmedy après la ratification du Traité de Versailles. La loi-cadre est maintenant adoptée. Pour sa mise en œuvre, le roi nomme un commissaire en chef, le général Hermann Baltia. Ce dernier, qui doit exercer l’ensemble des pouvoirs législatifs et exécutifs, ne sera responsable que devant le seul Premier ministre. Le commissaire sera assisté d’un comité consultatif de 12 membres. En outre, un comité interministériel doit préparer l’adaptation progressive des arrondissements d’Eupen-Malmedy à l’administration et au statut juridique belges.

Sources

• H. Christmann_64

La Société des Nations approuve définitivement le rattachement définitif lors de sa 9e session.

Publication de la loi de rattachement au Moniteur belge

Le général Baltia nommé gouverneur des territoires intégrés

Le futur haut-commissaire pour Eupen-Malmedy, le Belge Le général Baltia, décide de prolonger les mandats des conseillers municipaux et d’éviter ainsi de nouvelles élections.

Sources

• H. Christmann_49

Le bourgmestre désigné en 1920 par le conseil communal d’Eupen au scrutin secret est refusé par le commissaire général Baltia. Au lieu de cela, il impose au Conseil le sous-commissaire de Verviers Jules de Grand Ry. – Ce dernier est muté en mai 1925. Cette fois encore, le commissaire contourne le droit du conseil municipal et désigne le commissaire d’arrondissement Xhafflaire comme successeur de de Grand Ry.

Déjà pendant l’occupation des Anglais et des Français, les Belges ont fait des recherches sur l’histoire de l’art. Les autorités ont œuvré pour influencer la communication sociale. Et ce, dans le but de créer un climat favorable qui aidera à promouvoir un vote probelgique lors du référendum. Pour réorienter le discours social, le régime baltiare de Malmedy associe le bureau de presse et de propagande à des services d’espionnage. Les autorités autour du haut-commissaire misent sur la distribution de tracts anonymes et la communication du personnel. Cette dernière se sert de la persuasion, de la diffusion de rumeurs ou de la surveillance (et de la condamnation) d’agitateurs pro-allemands. (Du 01.01.1920 au 01.06.1920)

Sources

• H. Christmann_132ff

Pendant la consultation populaire, une propagande probelge offensive est menée tant par des groupes d’intérêts économiques de la Vieille Belgique (directeur de la Vieille Montagne) que par les bourgmestres nommés par le gouvernement. (Du 01.01.1920 au 30.06.1920)

Sources

• H. Christmann_141f

Les mandats des représentants allemands élus dans les communes ont expiré. Elles sont toutefois prolongées jusqu’aux premières élections communales belges dans les territoires néo-belges.

La société Esch & Co acquiert le journal citoyen d’Eupen et fonde les Eupener Nachrichten. La feuille se mue en un tirage de 2000 exemplaires.

Le Deutscher Schutzbund, une fédération d’associations pour l’Allemagne frontalière et étrangère, a vu le jour en 1919. – Une initiative de cette association conduit à la création de l’association régionale Eupen-Malmedy-Monschau à Berlin, à laquelle adhèrent 20 Eupen-Malmédiens. Elle déploie (trop tard) une activité intense, publie la revue Echo d’Eupen-Malmedy-Monschau et entretient des relations étroites avec l’unité d’Eupen-Malmedy. Son objectif principal est de promouvoir l’influence de la communication sociale à Eupen-Malmedy par le biais de contacts et de points d’information.

Sources

• H. Christmann_145

Par l’entrée en vigueur du traité de paix, la Belgique obtient donc officiellement la souveraineté provisoire sur le territoire d’Eupen-Malmedy, qui fait désormais partie de l’arrondissement judiciaire de Verviers.

Sources

• Pabst_1964_279 ; Doepgen_102

Dans le but d’empêcher une potentielle agitation propagandiste du clergé pendant la durée du référendum, le nonce apostolique au Royaume de Belgique, Sebastian Nicotra, est nommé administrateur apostolique du territoire assigné pour une durée de six mois à compter de la ratification du Traité de paix de Versailles. Il ne peut s’occuper que des questions spirituelles et doit en outre veiller à ce que l’autorité du cardinal-archevêque de Cologne Schulte, qui continue d’exercer légitimement ses fonctions d’ordinaire local, soit préservée. (Du 10.01.1920 au 10.07.1920)

Sources

• W. Jousten_79-91 (Personne originale : Sebastiano NICOTRA ; Karl Joseph SCHULTE)

La Belgique obtient la souveraineté provisoire sur le territoire d’Eupen-Malmédy. Les anciens conseillers régionaux prussiens ont remis leurs fonctions et sont partis. Ils seront remplacés le 13 janvier par les contrôleurs administratifs belges Schnorrenberg et Xhaflaire.

A partir de ce jour, la transition d’Eupen-Malmedy vers la forme de gouvernement libérale du peuple belge est mise en route et tous les avantages attachés à la nationalité belge sont garantis. Baltia déclare explicitement prendre au sérieux le « principe d’égalité » et empêcher les tentatives de wallonisation.

Sources

• K. Pabst_437 ; H. Christmann_69

La déclaration du commissaire pallie l’état d’inconstitutionnalité dans lequel se trouvent les deux arrondissements d’Eupen et de Malmedy.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 279.

Des contrôleurs administratifs belges, qui officient déjà pour le compte de l’occupant belge, occupent les postes d’administrateurs régionaux.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 289.

Bien que le doyen d’Eupen ait refusé d’accueillir Baltia à la porte de l’église, il est salué par les fonctionnaires et le clergé.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierungs- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 281.

Les commissaires de district Xhaflaire et Schnorrenberg sont chargés d’organiser la consultation populaire. Ils obtiennent le contrôle des listes sur lesquelles la population doit s’inscrire.

Sources

• Doepgen_129

Il y a 33.726 votants qui peuvent exprimer leur protestation pendant environ 6 mois. (Du 26.01.1920 au 23.07.1920)

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 285.

Entre janvier et juillet 1920, tous les Eupenois-Malmédiens majeurs ont la possibilité de se prononcer contre l’annexion des arrondissements d’Eupen et de Malmedy ou de parties de ceux-ci par la Belgique dans des registres ouverts et déposés dans les villes d’Eupen et de Malmedy. Les modalités d’exécution sont décrites dans le décret du et le texte du décret est publié dans la presse locale.

Sources

• H. Christmann_131

Selon le décret d’application, tous les hommes et femmes des deux arrondissements d’Eupen et de Malmedy sont admis à l’enquête, pour autant qu’ils soient de nationalité allemande, âgés de 21 ans et domiciliés à Eupen-Malmedy depuis le 1er août 1914.

Sources

• Pabst_1964_281 ; Doepgen_123

Les organes d’autogestion des arrondissements (Kreissages et Kreissausschüsse) sont dissous et remplacés par la mise en place de deux députations d’arrondissement, agissant conjointement en tant que députation du haut-commissaire royal. Les compétences des anciens organes de district sont reprises par le haut-commissaire. Ses missions : Nouveaux arrêtés du Gouvernement ; dispositions particulières d’exécution des lois belges qui s’introduisent progressivement à Eupen-Malmedy.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 289.

Le commissaire d’arrondissement Xhafflaire décrète que les réunions à caractère politique, les réunions de partis ou celles où un orateur doit se présenter doivent être soumises au bourgmestre pour information huit jours avant leur tenue. En outre, les réunions doivent être organisées dans des lieux publics afin que la police puisse également y avoir accès. – La surveillance, l’interdiction de parler, la privation de parole, la fermeture de l’assemblée, … font partie des moyens de contrôle.

Sources

• H. Christmann_82

L’armée belge occupe le terrain d’entraînement militaire d’Elsenborn.

Sources

• Lüttgens 1792-1980

En mars 1920, trois organes de presse locaux sont désignés par le Gouvernement général comme organes d’information officiels : dans l’arrondissement de Malmedy, La Warche pour le district wallon et Malmedy-St. Vither Volkszeitung pour la partie germanophone, ainsi que le Korrespondenzblatt pour l’arrondissement d’Eupen. – Le décret correspondant, dont la validité ne devait durer qu’un an, imposait aux trois feuilles la publication de tous les décrets et décisions du gouvernorat, et ce avec force obligatoire.

Sources

• H. Christmann_96

Sand, ancien officier dans les colonies allemandes d’Afrique et chauffeur en Belgique depuis novembre 1913, est affecté par le général Baltia à la Sûreté Militaire d’Eupen-Malmédy comme agent auxiliaire.

Sources

• Doepgen_168

Les contrôleurs administratifs Xhafflaire (Eupen) et Schnorrenberg (Malmedy) deviennent commissaires de district. (Plus tard, commissaires de district)

Un décret prévoit que les bourgmestres encore en fonction peuvent simultanément – à condition de prêter serment – rester en poste comme bourgmestre jusqu’aux élections communales belges.

Le syndicat chrétien d’Eupen-Malmedy, en concertation avec les membres du comité directeur des centres d’Eupen et d’Aix-la-Chapelle, prend la décision d’appeler à la grève générale. Les revendications économiques et politiques des ouvriers chrétiens face à une Belgique soucieuse d’annexion en sont les motivations.

Sources

• H. Christmann_157

L’après-midi, quelques milliers de grévistes se mettent d’accord sur un programme en cinq points concernant les revendications économiques au Kaperberg. En outre, il est fait appel à un sentiment populaire général et secret. – En raison des restrictions auxquelles il fallait s’attendre, la manifestation de protestation des ouvriers d’Eupen n’a pu être ni déclarée publiquement ni annoncée officiellement dans la presse. Le jour et l’heure de la manifestation devaient donc être communiqués avec succès par le bouche-à-oreille.

Sources

• H. Christmann_125

Les syndicats chrétiens d’Eupen encore affiliés à la fédération allemande appellent à la grève. Ils manifestent contre la séparation d’avec l’Allemagne et les modalités de la consultation populaire.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 285.

Le roi des Belges Albert Ier se rend en avion au terrain d’entraînement militaire d’Elsenborn. De là, il se rendit incognito – selon « La nation belge » – à Malmedy, où il rendit visite au gouverneur, le général Baltia.

Sources

• SVZ, 8.5.1920

Dans son mémoire, l’auteur, le Dr Voigt, tente de prendre position sur le cas problématique d’Eupen-Malmedy. Il cherche également à connaître l’intérêt que pourrait avoir le ministère belge des Affaires étrangères à un élargissement vers l’Est.

Sources

• Doepgen_111

Losheim, Losheimergraben et Kehr deviennent belges. Ils sont rattachés à la commune de Manderfeld.

Sources

• Lüttgens, 1792-1980

Les pouvoirs de l’administrateur ayant été tacitement reconduits, deux juridictions ecclésiastiques concurrentes apparaissent désormais sur le territoire de la cession et il en résulte une situation hybride dans laquelle l’influence ciblée sur la situation sociale par une politique de communication et de presse persuasive est omniprésente. Dès la fin de l’année 1920, le cardinal Gasparri, secrétaire d’État, informe le gouvernement belge que le Saint-Siège a décidé de mettre en place un système de contrôle de l’immigration. Il a ajouté que le Saint-Siège était prêt à séparer la région de l’archidiocèse de Cologne et à adapter les frontières ecclésiastiques aux frontières politiques. De son côté, le cardinal-archevêque de Bruxelles, Mgr Mercier, avait cherché à obtenir du gouvernement et de la Curie romaine une réorganisation du paysage diocésain belge. Le Saint Le Saint-Siège a finalement l’intention de clarifier une situation juridique incertaine en érigeant le territoire d’Eupen-Malmedy en diocèse autonome doté d’une structure administrative particulière. Mais ce n’est qu’à l’automne 1921 que cette décision est mise en œuvre. (Du 01.07.1920 au 01.09.1921)

Sources

• W. Jousten_118-142 ; K. Pabst_1982_40-44 ; (Personne originale : Pietro GASPARRI Désiré-Joseph MERCIER)

Seules 271 personnes ont protesté contre la cession d’Eupen-Malmedy en s’inscrivant sur les listes.

Le résultat du référendum incite la Belgique à demander à la Société des Nations la reconnaissance de sa souveraineté définitive sur le territoire annexé.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 287.

Sources

• Mémoire Eupen-Malmédy et son gouverneur, 28.10.1923 ;

Dans le cadre d’une politique d’alliance étroite, la Belgique conclut une convention avec la France.

Sources

• Doepgen_68

Lors de sa 9e session, la Société des Nations approuve définitivement le rattachement du territoire à la Belgique.

Jusqu’en septembre 1920 inclus, la population d’Eupen-Malmedy est tenue dans l’ignorance du résultat de la consultation populaire. Un temps supplémentaire s’écoule dans l’attente de la décision de la Société des Nations. – Ce n’est qu’environ quatre mois après le référendum que les journaux bruxellois – et non ceux d’Eupen-Malmedy – reçoivent le communiqué officiel du ministère des Affaires étrangères, selon lequel l’incorporation des arrondissements est désormais définitive. – Des années devaient encore s’écouler avant que le rattachement définitif des arrondissements ne soit clarifié et que les Eupen-Malmédiens soient informés des conséquences de cette incorporation.

Sources

• H. Christmann_108f

Baltia fonde l’association d’histoire locale qui devait entretenir les liens historiques et culturels d’Eupen-Malmedy avec ses communes belges voisines.

Sources

• K. Pabst_426

Le ministre des Arts et des Sciences, Jules Destrée, visite les arrondissements d’Eupen et de Malmedy pendant quatre jours.

Sources

• SVZ, 25.5.1921

Le Realgymnasium sur le Kaperberg devient une école épiscopale.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 63

Le Journal officiel Malmedy-Eupen remplace les trois journaux locaux autorisés à publier des informations officielles l’année précédente. Bien que l’organe de publication du gouvernement, qui dispose désormais de sa propre imprimerie, monopolise les informations officielles, Baltia trouve opportun, à partir de 1922, d’augmenter le degré de publicité des décisions gouvernementales importantes par une publication supplémentaire dans la presse locale.

Sources

• H. Christmann_97f

Le Saint Le Saint-Siège érige Eupen-Malmedy-Saint-Vith en un nouvel évêché.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 66

Par la bulle pontificale « Ecclesia universae », les anciens arrondissements d’Eupen-Malmedy sont séparés de l’archevêché de Cologne et placés sous l’autorité de l’évêque de Liège. C’est la naissance de l’évêché autonome d’Eupen-Malmedy.

Le 20 septembre 1921, exactement un an après la décision de la Société des Nations sur l’appartenance définitive d’Eupen-Malmedy, le cardinal Schulte fait ses adieux à ses 42 paroisses avec 65 prêtres diocésains et environ 61.000 catholiques dans une lettre adressée aux doyens d’Eupen, de Malmedy et de Saint-Vith. – Les doyennés avaient été érigés en nouveau diocèse par le pape Benoît XV, conformément à la bulle de dismembration Ecclesiae universae datée du 30 juillet 1921. La particularité de l’instruction pontificale résidait dans le fait que ce nouvel évêché avait été relié au diocèse de Liège sur un pied d’égalité (aeque principaliter) et placé sous la juridiction, la direction et l’administration d’un seul et même évêque en union réelle. La bulle n’avait été envoyée en Belgique que le 5 septembre, l’évêque de Liège Martin Hubert Rutten ne l’a reçue que le 13 septembre et portait depuis le titre d’évêque de Liège et d’Eupen-Malmedy.

Sources

• W. Jousten_175-185 ; Acta Apostolicae Sedis 13(1921)467-469 ; (Personne originale : BENEDICT XV. Martin-Hubert RUTTEN)

Baltia introduit les premières grandes parties du système juridique belge et du code de procédure pénale.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 294.

L’après-midi du 11 octobre 1921, assimilé à un jour férié légal, Mgr Rutten prend solennellement possession de son nouvel évêché en présence du nonce Nicotra dans l’église paroissiale de Malmedy, élevée au rang de cathédrale. Il visite ensuite les sièges des doyennés de Malmedy, St. Vith et Eupen. Rutten confie à son évêque auxiliaire liégeois Jacques Joseph Laminne la charge de délégué épiscopal pour Eupen-Malmedy prévue par la bulle papale, dont le statut juridique est équivalent à celui d’un vicaire général épiscopal.

Sources

• W. Jousten_185-194

En tant qu’exécuteur de la bulle papale, le nonce Nicotra promulgua le décret d’application Auctoritate apostolica Nobis, dont la consignation dans un procès-verbal donna plein effet juridique à l’élévation du diocèse.

Sources

• W. Jousten_185-194

Par un décret, le gouverneur Baltia abroge le droit ecclésiastique prussien qui était resté en vigueur jusqu’alors et introduit la législation belge en matière de culte. Le décret a en outre ordonné une nouvelle description territoriale des doyennés, des paroisses et des unités pastorales subordonnées.

Sources

• W. Jousten_256-261 Moniteur belge 01.07.1922 ; K. Pabst_317

En novembre 1921, l’interdiction d’acheter des journaux étrangers par la poste est levée. Mais le succès des quotidiens, en particulier ceux du Reich, n’atteint plus le niveau d’avant l’occupation (ne serait-ce que pour des raisons financières).

Sources

• H. Christmann_116

La réorganisation aboutit à la création de 30 mairies belges indépendantes à partir de 24 mairies allemandes.

Sources

• K. Pabst_289

L’assemblée municipale de Malmedy demande par lettre au roi Albert Ier l’application définitive des lois belges (…) et des élections selon le système belge.

Sources

• H. Christmann_184

Les députations d’arrondissement se fondent dans une députation permanente. La députation permanente d’Eupen-Malmedy n’a qu’une fonction consultative. L’ancienne Les cercles ont muté en prov. Vith, qui sera composé des trois nouveaux cantons (judiciaires) d’Eupen, de Malmedy et de St.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 289.

Sources

• K. Pabst_293

Cette loi, qui date de 1921, est désormais en vigueur en Nouvelle-Belgique.

Sources

• K. Pabst_302

Les Eupenois-Malmédiens montrent de la sympathie pour le parti catholique.

Sources

• K. Pabst_328

La reconnaissance civile de l’évêché d’Eupen-Malmedy se fait dans le cadre de la législation budgétaire pour le ministère de la Justice. Ainsi, l’instruction donnée par la bulle pontificale Ecclesiae universae est approuvée par l’État et, en même temps, les allocations et prestations pour le service des cultes dans la région d’Eupen-Malmedy, inscrites au budget de l’État, reçoivent leur justification.

Sources

• W. Jousten_256-261 ; Moniteur belge, 01.07.1922

Le roi Albert Ier se rend au terrain d’entraînement militaire d’Elsenborn pour remettre des drapeaux aux régiments qui y sont stationnés.

Sources

• SVZ, 21.5.1922

Les anciens groupes locaux d’Eupen-Malmedy du « Reichsdeutscher Eifelverein » s’unissent en une association de district et rejoignent l’association principale du Reich.

Sources

• H. Christmann_191

Les premières sections locales d’un parti libéral voient le jour à Eupen et à Malmedy. – Jusqu’aux élections de 1925, ils resteront dans l’ombre du PDC et du Parti ouvrier belge.

Sources

• H. Christmann_188

Une association de participants à la guerre est créée pour Eupen-Malmedy. Il est affilié à la Fédération Nationale des Invalides wallonne et est proche de l’Union catholique.

Sources

• H. Christmann_493

Face au député catholique Pierre David de Verviers, les associations économiques d’Eupen et de Malmedy se prononcent pour le maintien des deux districts ensemble et leur rattachement à la Belgique en tant que province indépendante.

Sources

• H. Christmann_228 ; (Personne originale : Pierre DAVID (1872-1948))

Le Parti populaire chrétien succède au Parti du centre. Une fédération d’associations catholiques, qui s’est réunie en 1920 à Eupen, est considérée comme le fondateur.

Sources

• H. Christmann_186

Les efforts politiques en vue d’une assimilation complète d’Eupen-Malmedy ne visent pas seulement la dissolution du gouvernement spécial, mais aussi celle de l’évêché spécial. Le gouverneur Baltia préconise de rattacher les doyennés d’Eupen et de Malmédy à l’évêché de Liège et le doyenné de Saint-Vith à l’évêché de Namur. Deux ans seulement après l’intervention réussie auprès du pape Benoît XV, l’envoyé belge au Vatican Beyens, après concertation avec le ministre des Affaires étrangères Jaspar et le cardinal Mercier, demande au pape Pie XI, le 15 novembre 1923, la suppression du jeune évêché. Le 20 mars 1924, une assemblée de cardinaux de haut rang discute de la proposition belge et le Saint-Siège décide de l’accepter. Le 4 avril 1924, le Saint-Siège déclara qu’il était prêt à procéder à l’attribution définitive de l’évêché d’Eupen-Malmedy dans son ensemble à l’évêché de Liège, après le rattachement civil complet du territoire qui avait été effectué. (Du 01.04.1923 au 10.04.1924)

Sources

• W. Jousten_204-217 ; K. Pabst_1982_53-54 ; K. Pabst_1964_350-351

Des représentants de la plupart des organisations d’Eupen-Malmedy ont formé un comité. Ensemble, ils se présentent au public et abordent le thème du rattachement à la Belgique avec la population. Leur devise : être consultés et entendus en tant que ceux que cela concerne (…) avant toute décision définitive à la Chambre.

Sources

• H. Christmann_213 (Personne originale : Dr. Bartz, Weismes)

Le Comité provisoire, qui se veut le porte-parole de l’ensemble des habitants d’Eupen-Malmedy, insiste sur l’unité du territoire néo-belge. Dans la maison des jeunes d’Eupen, il informe la population et s’accorde avec les personnes présentes sur les exigences suivantes lors du rattachement définitif : pas de séparation d’Eupen-Malmedy, égalité des droits pour la langue allemande, création d’un tribunal de première instance de langue allemande et maintien de la sécurité sociale introduite à l’époque prussienne. Les personnes présentes chargent le Parti ouvrier belge et le Parti populaire chrétien de soutenir et de transmettre les revendications.

Sources

• H. Christmann_214

Le journaliste de Waimes, le Dr Karl Bartz, s’efforce de trouver un point de vue unifié sur le rattachement des forces politiques à Eupen-Malmedy. Ses cinq revendications (sous le titre « la volonté ferme du peuple ») sont : l’unité inconditionnelle d’Eupen-Malmedy, la création d’un arrondissement judiciaire, un tribunal de première instance, le maintien des langues allemandes dans l’administration et l’école ainsi qu’une représentation garantie d’Eupen-Malmedy au Parlement belge.

Sources

• H. Christmann_216

C’est à l’hôtel Koch que les élus de la ville d’Eupen de l’Association des électeurs économiques vous invitent. Les aspects du rattachement d’Eupen-Malmedy à la Belgique seront abordés. Une manifestation identique aura lieu le 11.08. à la salle Nicolet à Malmedy (et aussi à St. Vith). Les personnes présentes se mettent d’accord sur une résolution en 5 points.

Sources

• H. Christmann_215

L’arrêté royal détermine les curés et les curés auxiliaires éligibles à un traitement d’État ainsi que les limites définitives des circonscriptions paroissiales.

Sources

• W. Jousten_256-261 ; Moniteur belge, 01.07.1922

Le leader d’opinion Henri Bragard refuse l’unité d’Eupen-Malmedy attendue par les germanophones et demande notamment le rattachement immédiat des localités wallonnes autour de Malmedy à la Belgique.

Sources

• H. Christmann_230

Les Eupenois-Malmédiens participent aux élections législatives belges.

Le comité rassemble toutes ses propositions d’amendement dans un mémorandum qu’il envoie au Roi, aux ministres et aux députés. Le projet d’amendement demande le regroupement des anciens arrondissements d’Eupen et de Malmedy dans un arrondissement distinct, avec la possibilité de le transformer en une province distincte après au moins trois ans. Seule cette forme de rattachement respecterait les us et coutumes forgés par cent ans d’appartenance à la Prusse.

Sources

• H. Christmann_233

Débat en plénière sur Eupen-Malmédy à la Chambre.

La « Loi de rattachement des cantons » remplace la loi provisoire sur les OPA du 15 septembre 1919. L’administration spéciale du territoire par le Gouvernement général est ainsi considérée comme abolie. Cependant, les suggestions des Eupen-Malmédiens concernant une relative autonomie administrative n’ont finalement pas été prises en compte. La décision des élus vise donc à une intégration rapide et étroite dans l’arrondissement de Verviers.

Sources

• H. Christmann_241

En février, le projet de loi correspondant a occupé la commission principale de la Chambre. – Plus rien ne s’oppose désormais à ce que la population d’Eupen-Malmedy participe pour la première fois aux élections à la Chambre des députés et au Sénat.

Sources

• Pabst_330

L’évêché d’Eupen-Malmedy passe dans l’évêché de Liège. Un vicaire général est attribué aux nouveaux Belges comme interlocuteur. – Au sein d’un diocèse, un deuxième vicaire général est toutefois une exception. Dans le cas d’Eupen-Malmedy, cette nomination souligne toutefois la position particulière de la région néo-belge. – Le droit à un vicaire épiscopal de langue allemande qui y est lié ne sera mis en œuvre qu’en 1978.

Sources

• Pabst_351

Après l’intégration politique complète d’Eupen-Malmedy dans la structure de l’État belge le 6 mars 1925, le pape Pie XI décrète, dans la bulle Apostolicis Litteris datée du 15 avril, la dissolution de l’évêché d’Eupen-Malmedy et son intégration dans l’évêché de Liège. Pour assurer la pastorale des fidèles germanophones, le pape oblige l’évêque de Liège à nommer un délégué spécial parlant couramment la langue allemande. Ce n’est que le 30 juin 1925 que la lettre pontificale arrive à la nonciature de Bruxelles. L’évêque Rutten ne reçoit cependant la bulle que le 24 septembre, en même temps que son exécution légitime par le nonce par son décret d’exécution Cunctis ubique. – La bulle n’avait pas été publiée officiellement et la dissolution de l’évêché, une fois accomplie, avait en outre été datée à Liège du 16 novembre 1925. (Du 15.04.1925 – 16.11.1925)

Sources

• W. Jousten_218-226 K. Pabst_1982_54-56 K. Pabst_1964_351

L’administration d’Eupen-Malmedy est transférée aux autorités centrales de Bruxelles et aux bureaux provinciaux de Liège. La loi transitoire correspondante prend fin le 31 décembre 1925.

La Constitution libérale belge s’applique désormais aussi à Eupen-Malmedy.

A l’approche des élections au conseil provincial, la question de la circonscription électorale reste longtemps considérée comme non résolue pour les Eupen-Malmédiens. Le projet du ministère de l’Intérieur de diviser la région annexée d’Eupen-Malmedy en deux districts électoraux et de les attribuer à deux circonscriptions wallonnes existantes, Spa et Dison, suscite un vif débat dans les médias écrits.

Sources

• H. Christmann_247 ; Pabst_334

Bribosia, commissaire d’arrondissement, recommande aux autorités d’Eupen d’utiliser le bilinguisme dans leur correspondance avec les échelons supérieurs de l’administration. Les raisons : Le personnel administratif ne disposerait pas de connaissances en allemand et la traduction ralentirait le traitement. Le conseil communal d’Eupen s’y oppose en invoquant la Constitution (l’allemand est la troisième langue nationale) et le respect proclamé par Baltia pour la langue allemande.

Sources

• H. Christmann_266

La nouvelle législation remplace les directives allemandes exemplaires qui étaient en vigueur jusqu’alors. – Depuis 1840, le texte de loi devait être le premier à paraître en allemand au Moniteur belge (1926).

Sources

• K. Pabst_298

La loi de transition prend fin le 31 décembre 1925. Avec l’entrée en vigueur du décret au 01.01.1926, l’usage des langues dans l’administration est notamment réglementé.

Sources

• K. Pabst_343

L’évêque Rutten adresse un message de bienvenue aux nouveaux fidèles du diocèse de Liège et nomme son évêque auxiliaire Kerkhofs vicaire général pour le nouveau territoire diocésain.

Sources

• W. Jousten_218-226 ; K. Pabst_1982_54-56 ; K. Pabst_1964_351

Sept accords internationaux ont été discutés à Locarno, en Suisse, entre le 5 et le 16 octobre 1925. Le 1er décembre 1925, le pacte de sécurité est signé à Londres, mais sans aucune mention de la frontière occidentale allemande d’Eupen-Malmedy.

Sources

• Pabst_335 ; Pabst_460

Les décrets du haut-commissaire Baltia perdent ainsi leur validité. Les citoyens d’Eupen-Malmedy deviennent ainsi de facto des citoyens à part entière.

Sources

• Pabst_336

L’Assemblée wallonne célèbre le retour de la Wallonie prussienne comme un acte de justice historique.

Sources

• Pabst_437 (personne originale : pasteur Pietkin)

Dès le mois d’avril, un appel est lancé pour la création de groupes locaux « dans le seul but de transmettre à nos enfants, sans les dégrader, nos valeurs inestimables de langue maternelle et de coutumes locales héritées de nos pères ».

Sources

• Pabst_379

Sources

• Pabst_334

Des deux candidats les plus prometteurs, d’origine allemande mais de vieille Belgique, Jenniges (catholique) et Somerhausen (socialiste), seul ce dernier est considéré comme élu.

Sources

• H. Christmann_243 ; Pabst_361

Tous les élèves germanophones sont assurés de respecter les dispositions de la loi scolaire concernant la langue maternelle. Parmi celles-ci, l’interdiction de commencer l’enseignement des langues étrangères dès les premières classes de l’école primaire.

Sources

• K. Pabst_449

Le gouvernement belge se concerte avec la partie allemande en vue de faciliter les contacts de la population néo-belge avec celle du Reich.

Sources

• H. Christmann_252

Les intentions du gouvernement belge vont dans le sens d’un contrôle et surtout d’une limitation des contacts entre les Allemands du Reich et les Néo-belges.

Sources

• H. Christmann_252

Dans une interview accordée à la Dernière Heure, le conseiller municipal socialiste Werson (Malmedy) plaide pour un nouveau référendum séparé par canton.

Sources

• H. Christmann_325

Les lecteurs d’Eupen-Malmedy apprennent par le biais du journal d’Eupen que la restitution des anciens cercles est un sujet de discussion dans les cercles gouvernementaux bruxellois.

Sources

• H. Christmann_321

La société d’histoire Folklore Eupen-Malmedy-Saint-Vith, fondée par le gouverneur Baltia, se scinde en deux sections. A Eupen, l’association ouvre son propre musée local, au sud, le Malmedy-St. Association des musées de Vither.

Sources

• H. Christmann_273

La création de la nouvelle association des participants à la guerre complète l’ancienne. L’organisation aiguise la conscience de la minorité de ses membres.

Sources

• H. Christmann_274

Le débat sur la restitution marque la période préélectorale. Au préalable, deux groupes d’opinion émergent : les partisans et les adversaires d’une restitution d’Eupen-Malmedy à l’Allemagne.

Sources

• H. Christmann_338

Des décisions du conseil municipal sont annulées en haut lieu depuis 1925. Exemple : la décision du conseil communal d’Eupen de dissoudre l’école française d’Eupen est annulée en tant que décision antibelge.

Sources

• H. Christmann_256

La Ligue pour la défense des intérêts d’Eupen-Malmedy doit être considérée comme le pendant de la Ligue révisionniste pour la défense de la patrie. Le B.E.M. regroupe des fabricants et des commerçants de la classe supérieure de la grande bourgeoisie. Son objectif : consolider les relations entre les anciennes et les nouvelles régions du pays.

Sources

• Pabst_426

Les médias articulent des intérêts politiques … Six journaux locaux, porteurs de l’opinion de leurs lecteurs, s’adressent au gouvernement belge pour lui demander d’organiser un vote libre et secret sans influence à Eupen-Malmedy. – Sans succès.

Sources

• H. Christmann_286

Tandis que l’association agricole d’Eupen reste fidèle au Boerenbond belge, la nouvelle communauté d’intérêts de l’Eifel attend de cette séparation non seulement un renforcement économique, mais également un retour à un esprit authentiquement allemand.

Sources

• H. Christmann_275

Le bourgmestre d’Eynatten Esser, également conseiller provincial du parti catholique, est coopté au Sénat. Jenniges, l’ancien candidat à la Chambre d’Eupen-Malmedy, avait renoncé à ce poste parce que le parti ne lui avait pas accordé le droit de défendre l’autodétermination des Eupen-Malmédiens. Esser devait occuper ce mandat jusqu’en 1929. – Les divergences d’opinion entre le parti catholique et le parti populaire chrétien en voie de consolidation à Eupen-Malmedy constituent la toile de fond de cette nomination.

Sources

• H. Christmann_250

L' »Echo des frontières » paraît pour la première fois. Dans son plan de communication, il correspond au projet du général Baltia a. D., qui ne demande qu’à un journal résolument belge de promouvoir un patriotisme inébranlable parmi les Eupen-Malmédiens. – La même année, il s’associe aux revendications de la presse de l’ancienne Belgique qui demande la limitation de la liberté de communication à Eupen-Malmedy.

Sources

• H. Christmann_92 ; H. Christmann_265 ; Minke, Eupen 1974, p. 67

Ce week-end, Eupen accueille une journée catholique. Entre 1.500 et 4.000 fidèles participent aux différents événements. De vives tensions avaient eu lieu avant le Katholikentag, les autorités belges craignant un événement politique. En effet, plusieurs orateurs allemands ont été interdits d’entrée sur le territoire transféré à la Belgique en 1920. Pour des raisons linguistiques, les organisateurs n’ont pas souhaité faire appel à des orateurs belges.

Sources

• GE, 05.10.2004 ; Pabst, Eupen-Malmedy

Un amendement à la loi belge sur les communes, qui interdit le transfert d’un bourgmestre déjà nommé dans une autre commune, met fin à la soi-disant question du bourgmestre à Eupen. – Après le mandat de Xhafflaire (31.12.1926), le siège de bourgmestre était resté vacant. Le bourgmestre Hugo Zimmermann, désormais transféré de Herbesthal à Eupen, met certes fin à la vacance, mais pas à la méfiance des Eupen-Malmédiens, qui revendiquent sans restriction (et jusqu’à la fin des années 1930) le droit à l’indépendance communale.

Sources

• H. Christmann_257f

Les élus municipaux d’Eupen appellent à un rassemblement de protestation.

Sources

• H. Christmann_257f

Le ministre belge de l’Intérieur décrète que les Eupen-Malmédiens qui, conformément à l’article 36 du Traité de Versailles, sont certes devenus automatiquement citoyens belges, mais qui n’ont pas été déclarés de manière continue à Eupen-Malmédy entre 1914 et 1921, perdent leur nationalité. – Ces dernières doivent désormais faire une nouvelle demande avant le 20 août 1929.

Sources

• H. Christmann_261

Le parti s’étend à l’ensemble d’Eupen-Malmédy et agit comme un indice du droit à l’autodétermination visé pour la population.

Sources

• H. Christmann_276

Le Parti Populaire Chrétien, qui au début ne concernait que la ville et la campagne d’Eupen, regroupait tous les partisans catholiques de la restitution. Après avoir pris contact avec des personnes de confiance, également à Malmedy et à Saint-Vith, le parti s’exprime publiquement.

Sources

• H. Christmann_397

En tant que journal populaire catholique pour les régions néo-belges d’Eupen-Malmedy-St. Vith, le journal se veut un organe destiné à promouvoir en priorité les intérêts économiques et, plus généralement, tous les intérêts légitimes de la patrie.

Sources

• H. Christmann_374

Les opposants catholiques à la restitution réagissent aux actions du jeune parti populaire chrétien régional indépendant. À Waimes, ils fondent l’Union catholique avec le soutien des politiciens d’Eupen-Malmedy Kriescher et Esser.

Sources

• H. Christmann_397

Le président de l’association agricole Malmedy-St. Vith, Joseph Dehottay, visite l’exposition agricole de Cologne. Dans son discours, il fait un serment de fidélité à la grande patrie allemande.

Sources

• H. Christmann_275

A Eupen, le Parti Populaire Chrétien met en place un point d’information et de contact.

Sources

• H. Christmann_276

La fête des pompiers à Eupen doit être annulée. Motif : la sécurité de l’État belge n’a voulu autoriser l’entrée des associations frères allemandes qu’à condition qu’elles laissent leurs pointes de casque et leurs décorations chez elles.

Sources

• H. Christmann_254

La Caisse d’allocations familiales des Cantons de l’Est est créée. Elle est responsable du paiement des allocations familiales. La caisse sera dissoute le 15 mai 2019.

Le principe actuel de la langue maternelle au profit de la langue nationale est supprimé. Si l’allemand reste la langue d’enseignement, il est désormais recommandé, sans engagement, de commencer l’enseignement du français en 3e année.

L’aumônier de Saint-Joseph à Eupen est expulsé clandestinement de la frontière par la gendarmerie. Motif : activité de propagande allemande en tant que président de l’association catholique des jeunes gens d’Eupen. – L’annonce de cette mesure seulement la veille de l’expulsion indigne la population.

Sources

• H. Christmann_255 ; Pabst_353

Entre 1934 et 1935, des groupes de garçons et de filles national-socialistes voient le jour à Eupen-Malmedy.

Sources

• H. Christmann_449

Le Heimatbund devient une association pour l’étude de la nature et du patrimoine, puis un club de vol à voile. Plus tard, la protection de la salle et les sociétés de tir à l’arc de Malmedy et de Saint-Vith seront les prochaines ramifications.

Sources

• K. Pabst_390

Ce groupe, axé sur le programme du mouvement fasciste en Italie, se manifeste pour la première fois à Eupen. Ses membres distribuent du matériel de propagande.

Sources

• Canton de l’Est & 10 mai_33

Le gouvernement belge s’oppose fermement à tous les mouvements revanchistes à Eupen-Malmédy. Néanmoins, elle ne peut pas empêcher totalement la création d’associations et l’agitation. Enfin, elle promulgue une loi de déchéance de la nationalité qui ne concernera que la population d’Eupen-Malmedy.

Sources

• Pabst_393

La troisième association de combattants est créée à Eupen-Malmedy, l’Association Nationale des Combattants, également appelée Fédération Nationale des Anciens Combattants. Il attache une grande importance à la neutralité politique. Leurs thèmes sont communiqués par les fidèles de la patrie.

Sources

• H. Christmann_494

L’enseigne du cabinet du Dr Dohmen, d’obédience national-socialiste, est repeinte.

Sources

• H. Christmann_501

En signe de résistance contre le travail de presse national-socialiste, une brique décrite (« Baustein für Eupen-Malmedy ») atterrit dans la fenêtre de la maison d’édition du journal d’Eupen.

Sources

• H. Christmann_501

Des perquisitions policières ont lieu dans les milieux fidèles à la patrie. Les médias et les vêtements sont confisqués et des arrestations sont effectuées. (Du 08.03.1935 au 09.03.1935)

Sources

• H. Christmann_467f

Sources

• Canton de l’Est & 10 mai_92

Eupen-Malmedy se dote de son propre pavillon. Seuls les maires des Cantons de l’Est qui ne sont pas membres du Heimattreuen Front y participent.

La loi accorde plus de droits à la langue allemande en dehors d’Eupen-Malmedy. En revanche, il y a un manque de juges germanophones.

Sources

• K. Pabst_346

Le ministre des Travaux publics rend visite à Eupen. Il déclare le projet de barrages de la Vesdre adopté. – La même année, des entreprises de construction font leur entrée.

Sources

• Minke, Eupen 1974, p. 67

En octobre 1935, tous les participants à la Première Guerre mondiale reçoivent la médaille dite du souvenir de guerre. La loyauté des décorés envers l’État belge se manifeste par des défilés qui ont lieu à Eupen, Malmedy et Saint-Vith.

Sources

• H. Christmann_493

En octobre 1935, tous les participants à la Première Guerre mondiale reçoivent la médaille dite du souvenir de guerre. La loyauté des décorés envers l’État belge se manifeste par des défilés qui ont lieu à Eupen, Malmedy et Saint-Vith.

Sources

• H. Christmann_493

Après une longue procédure judiciaire, la dénaturalisation et l’expulsion de Josef, Peter et Heinrich Dehottay ainsi que de Heinrich Foxius ont lieu en octobre, en application de la loi sur l’expatriation. En tant qu’éditeurs du Landbote, ils sont accusés de politique de communication nationale-socialiste. – Ainsi, l’objectif fixé dans la belg. Le droit à la liberté de la presse et à la liberté d’expression, garanti par la Constitution, a été restreint spécialement à Eupen-Malmedy.

Sources

• H. Christmann_467f ; Pabst_393

Le Front populaire rexiste aspire au renouveau d’un catholicisme politique. Pour communiquer avec ses partisans, elle fonde le journal Rex.

Sources

• H. Christmann_487

Depuis 1933, la Légion nationale belge déploie des idées nationalistes antidémocratiques. Dès 1936, elle exige l’expulsion des étrangers, le jugement des Juifs qui franchissent désormais quotidiennement la frontière belgo-allemande, l’éloignement des Juifs belges du secteur de la presse, …

Sources

• H. Christmann_490

La ville de Malmedy-St. Le Vither Volkszeitung publie la lettre des bergers allemands contre les écrits hostiles à la foi du Troisième Reich.

Sources

• H. Christmann_418

Des membres du Parti populaire chrétien dissolvent le parti et s’associent à des personnes fidèles à leur patrie pour former le Front de la fidélité à la patrie. Le parti, dirigé à distance depuis le début par le Gauleiter Grohé de Cologne, doit désormais aider à transmettre les idées nationales-socialistes à ses membres. Le parti plaide pour un retour d’Eupen-Malmédy en Allemagne. Elle comprend bientôt sa propre association de jeunesse, à partir de 1937 une association de femmes fidèles à la patrie, à partir de 1938 le Winterhilfswerk, des associations de guerriers et de gymnastes.

Sources

• H. Christmann_439 ; Pabst_383 ; Pabst_400f.

L’expatriation des Dehottays a également des conséquences sur la diffusion de leur organe de presse. La Poste et les Chemins de fer belges renoncent à poursuivre la distribution du journal.

Sources

• H. Christmann_419

A l’approche des campagnes électorales belges, le club de vol à voile se voit particulièrement sollicité. Au fil des années, l’association s’était profilée comme l’incarnation de la résistance activiste contre tout ce qui était belge et non allemand.

Sources

• H. Christmann_443

La Fédération nationale des Invalides est proche de l’Union catholique. Il organise une réunion à laquelle seul le Front de la fidélité à la patrie ne peut pas participer.

Sources

• H. Christmann_448

Les partis suivants se présentent aux élections : Libéraux, Union catholique, Rex, Communistes, Socialistes Agriculteurs (Chambre uniquement) et Front de la fidélité à la patrie (Sénat uniquement).

Sources

• David Mennicken : Le Front de la fidélité à la patrie, Eupen 2016, p. 242 et suivantes.

Les partis suivants se présentent aux élections : Libéraux, Union catholique, Rex, Communistes, Socialistes agraires, Liste dissidente unioniste et Front de la fidélité à la patrie.

Sources

• David Mennicken : Le Front de la fidélité à la patrie, Eupen 2016, p. 242 et suivantes.

Le Front de la fidélité à la patrie publie ses statuts. Elle se positionne comme la représentation politique de la population d’Eupen-Malmedy-St. Vith.

Sources

• H. Christmann_439

En décembre, le député Rex Wintgens évoque un programme radiophonique en langue allemande pour Eupen-Malmedy. Il espère ainsi pouvoir s’opposer plus efficacement au discours national-socialiste.

Sources

• H. Christmann_484

Des prêtres allemands du Reich fuyant la Gestapo reprennent des paroisses dans l’Eifel belge. (Busch, Hütten, Trenz, Knichel)

Sources

• K. Pabst_433

L’association pour le germanisme à l’étranger a suggéré la création d’une association de femmes. A Eupen, huit femmes se retrouvent à cette occasion. – D’ici la fin de l’année, il devrait y en avoir 37.

Sources

• Christmann_454

L’organe de presse du Parti Populaire Chrétien dissous cesse de paraître. Le groupe d’opinion pro-allemand perd ainsi un moyen de communication important.

Sources

• Christmann_420

Le Malmedyer Zeitung für Stadt und Land, Heimatblatt für die Gebiete Malmedy und Sankt Vith paraît le mercredi et le samedi et est édité par l’Association pour le Deutschtum im Ausland.

Sources

• Christmann_421

Conçu comme le pendant de la Reichsdeutsche Landsmannschaft à Berlin, le groupe bruxellois souhaite profiter des contacts entre les personnes originaires des Cantons de l’Est et celles vivant en Vieille Belgique pour s’orienter vers la Belgique.

Sources

• K. Pabst_428

La DRB (Dt. Rundfunkvereinigung Belgiens) émet pour la première fois en allemand. Langue d’Eupen.

La loi exige des officiers et sous-officiers des unités germanophones qu’ils passent un examen attestant d’une connaissance suffisante de l’allemand.

Sources

• K. Pabst : Eupen-Malmedy dans l’histoire de la Belgique. Regierung- u. Parteienpolitik 1914-1940 (1964), p. 415.

L’Echo des frontières évoque notamment l’hostilité du national-socialisme à l’égard de la religion. En septembre, il publie la lettre pastorale des évêques allemands sur les mesures et les attaques anti-catholiques en Allemagne.

Sources

• H. Christmann_476

Une alliance se forme contre la propagande nationale-socialiste, à laquelle se joignent des représentants de tous les groupes d’opinion locaux, à l’exception du mouvement Rex. L’Echo des frontières soutient le mouvement en transmettant ses thèmes de discussion.

Sources

• H. Christmann_507

Le Front de la fidélité à la patrie organise ce que l’on appelle une œuvre de secours d’hiver selon le modèle national-socialiste.

Sources

• H. Christmann_440

Sources

• David Mennicken, Le Front de la fidélité à la patrie, Eupen 2016, p. 242 et suivantes

Le socialiste malmédien Werson fonde l’organisation interpartis de Malmedy pour lutter ouvertement contre les organisations HF.

Sources

• K. Pabst_428

Tous les partis non nationaux-socialistes (sans Rex) sont représentés dans l’Association électorale de la ville natale d’Eupen. De cette union naît en décembre le Demokratischer Heimatblock, qui se positionne clairement contre le Heimattreue Front. Leurs actions suivent la devise Nous sommes belges et voulons rester belges.

Sources

• K. Pabst_427

Un nouveau magazine pour jeunes de quatre pages paraît sous le titre « Junges Volk Eupen-Malmedy-St. Vith ». Elle paraîtra désormais une fois par mois, avec un tirage de 1.000 exemplaires. Elle est financée par l’Association pour le Deutschtum à l’étranger et son contenu est marqué par les idées nationales-socialistes.

Sources

• H. Christmann_424

Jusqu’à présent, 660 jeunes ont rejoint les organisations de jeunesse nationales-socialistes des communes d’Eupen-Malmedy.

Sources

• H. Christmann_449

L’association féminine d’entraide d’Eupen compte aujourd’hui une centaine de membres.

Sources

• H. Christmann_454

Les partis suivants se présentent aux élections : Union catholique, socialistes, communistes, Rex, libéraux et Front de la fidélité à la patrie.

Sources

• David Mennicken, Le Front de la fidélité à la patrie, Eupen 2016, p. 242 et suivantes

Le probelge Michel Freres, fonctionnaire des chemins de fer à Saint-Vith, est élu député et fait son entrée à la Chambre en tant que candidat du parti catholique.

Sources

• H. Christmann_251

En mai, les réservistes d’Eupen-Malmedy forment un groupe local de la Confédération des fraternelles d’après-guerre. Il s’agit de l’association des Eupen-Malmédiens qui ont servi jusqu’à présent dans l’armée belge. Le groupe se veut le pendant de la Kameradschaftliche Vereinigung (association de camaraderie), d’obédience nationaliste allemande.

Sources

• H. Christmann_496

Le pasteur de l’église évangélique d’Eupen fait comprendre que son église peut indirectement s’occuper de la culture populaire sans devoir s’attendre à des difficultés.

Sources

• H. Christmann_457

L’Association pour le germanisme à l’étranger rapporte que parmi les quelque 2 500 membres des syndicats d’Eupen-Malmedy, deux tiers appartiennent au Front de la fidélité à la patrie.

Sources

• H. Christmann_448

Neuland est le titre de la revue essentiellement religieuse des Jeunesses catholiques d’Eupen-Malmedy, qui s’opposent de manière ciblée à l’influence nationale-socialiste.

Sources

• H. Christmann_498

Un décret ministériel met fin à la publication du journal national-socialiste pour la jeunesse. Il s’agit d’une réaction à la transmission par le média d’opinions antidémocratiques et nuisibles à l’image de la Belgique.

Sources

• H. Christmann_424

Parce qu’il (est) susceptible d’exercer une influence malheureuse sur l’esprit de l’armée et de la population, le journal est interdit par décret ministériel.

Sources

• H. Christmann_529

L’interdiction des organisations antinationales est abordée et discutée au Parlement. Le parti communiste, qui ne veut pas indiquer ses donateurs présumés à l’étranger, en est la cause. Pendant ce temps, le Front de la fidélité à la patrie poursuit ses actions sans être inquiété.

Sources

• H. Christmann_534

Un décret royal interdit la diffusion de tout type de pamphlet dans les lieux publics. – La propagande du Reich allemand va contourner cette consigne en distribuant désormais ses feuilles de propagande par voie postale.

Sources

• H. Christmann_531

La population d’Eupen-Malmedy assiste à l’entrée et au passage des troupes allemandes. C’est le début de la guerre mondiale.

Ce n’est que quatre jours après l’invasion que l’autorité ministérielle allemande autorise l’Eupener Zeitung, l’Eupener Nachrichten, le Malmedyer Zeitung et le Malmedy-St. Vither Volkszeitung à nouveau une parution. (Du 10.05.1940 au 14.05.1940)

Sources

• H. Christmann_536

Ce national-socialiste convaincu et opposant à la Belgique se présente le matin avec un drapeau à croix gammée. Alors qu’il passe ostensiblement avec ce symbole devant une caserne encore occupée par les troupes belges, une balle l’atteint. Le mouvement patriotique l’a stylisé en martyr.

Sources

• Pabst_391

Le groupe de reconnaissance 31 installe son terrain d’atterrissage de combat près de Sourbrodt. Les aviateurs sont logés au camp d’Elsenborn.

Sources

• Lüttgens 1792-1980

Eupen-Malmedy-St. Vith et Moresnet sont déclarées parties intégrantes de l’Empire allemand et ne sont explicitement pas considérées comme des terres ennemies occupées.

Sources

• H. Christmann_536

La monnaie allemande, les prix et les tarifs allemands, la réglementation de la consommation et l’organisation du marché allemands sont introduits.

Herwanger a pris la place de Meher en tant que chef d’arrondissement à Eupen. Meher a été admis à la direction du Reich du NSDAP. Depuis le 21 mai 1940, Meher avait mis en place la structure du NSDAP dans l’arrondissement d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Le ministre fédéral de l’Intérieur Frick en visite à Eupen.

Sources

• Canton de l’Est & 10 mai_43

Une rédaction du Westdeutscher Beobachter s’est installée dans le bâtiment Grenz-Echo de la Klosterstraße. Ce jour-là, les Eupener Nachrichten sont purement et simplement supprimés et incorporés à l’organe de presse national-socialiste.

Sources

• H. Christmann_536

La monnaie allemande, les prix et les tarifs allemands, la réglementation de la consommation et l’organisation du marché allemands sont introduits.

En compagnie du Gauleiter Grohé et d’autres personnalités du parti, le chef de l’organisation du Reich Ley s’adresse à Eupen aux ouvriers de la câblerie et à la population. – L’après-midi, un même grand rassemblement est prévu à Malmedy.

Sources

• Lüttgens 1792-1980

L’assesseur de justice Dr. Deller a été nommé nouveau conseiller du tribunal de grande instance d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Le jugement du tribunal de commerce de Verviers du 28 mai 1936 concernant les biens d’une veuve a été annulé le 12 novembre 1940.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.01.1941, p. 6.

Dans la nuit de lundi à mardi, la rivière Nöreth est sortie de son lit et a provoqué de fortes inondations dans les rues Gospert et Wiesenweg à Eupen. (Du 31.12.1940 au 01.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.01.1941, p. 6.

Les usines de laine peignée d’Eupen ont été inscrites au registre du commerce allemand.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.01.1941, p. 5.

Un changement à la tête du tribunal d’instance d’Eupen. Le conseiller du tribunal régional Dr. Dreßler a été remplacé par le juge en chef Schäfer.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.01.1941, p. 5.

Les habitants des anciens arrondissements prussiens d’Eupen-Malmedy et de Moresnet-Neutre obtiennent automatiquement (rétroactivement) la nationalité allemande à partir du 18 mai 1940 (23.09.1941), sans aucune formalité. (23.09.1941).

A partir du 1er janvier, diverses réglementations du règlement communal allemand sont entrées en vigueur à Eupen concernant les taxes d’enlèvement des ordures, le nettoyage des rues et les taxes d’égout.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.01.1941, p. 7.

A partir du 1er janvier 1941, le droit du Reich s’appliquait à l’assurance-emploi dans les régions d’Eupen, Malmedy et Moresnet .

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.01.1941, p. 6.

Première réunion de service de l’année 1941 à Raeren chez Ludwig Pesch. Étaient notamment présents le responsable du groupe local Kalff et le responsable de la formation Massing.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.01.1941, p. 5.

Les diplômés du stage d’octobre ont observé les nouveaux du NSFK-Strum 10/65 Eupen lors d’un cours de pilotage du NSFK et de la Flieger-SS à Schwerfen. Parmi les observateurs du NSFK, on comptait Josef Pankert et Hans Bandersander d’Eupen, Josef Rüchen de Kettenis ainsi que Karl Lennartz et Josef Marechal de Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.01.1941, p. 2.

A l’occasion d’une collecte d’argent, du 4 au 5 janvier 1941, (« Gaustrassenammlung ») organisée par le Reichsschutzbund à Eupen, le groupe territorial II du groupe local Westeifel a organisé une fête à l’hôtel Bosten à Eupen au profit de l’œuvre de secours d’hiver du peuple allemand (WHW). Le quatuor ADF d’Eupen était responsable de la partie musicale de la soirée. (Du 03.01.1941 au 04.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.01.1941, p. 5.

Le Reichsschutzluftbund a organisé une soirée festive au profit du Winterhilfswerk du peuple allemand.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 7.

La lune de miel de Beate au Capitol d’Eupen ; Un gars entier au Schauburg d’Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 8.

Dans la 19e section de ravitaillement, les droits de ravitaillement ont reçu des rations spéciales : Légumes secs, riz, thé, chocolat.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 8.

La SA-Sturm 42/174 du groupe local de Moresnet a organisé une soirée de camaraderie dans la salle Evertz.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 7.

29 personnes de l’arrondissement d’Eupen ont participé à une formation de dix jours organisée par la Nationalsozialistische Volkswohlfahrt (NSV) à Venau. (Du 05.01.1941 au 14.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 10.

Incendie de maison dans la Bergkapellstraße éteint grâce aux pompiers volontaires.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle est venu à Raeren pour deux projections (16h30 et 19h30). Le film principal était le « Bal de l’Opéra » et le dernier journal télévisé.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 7.

Nouvelle inscription de divers commerces et entreprises au registre du commerce.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 8.

Soirée-conférence pour femmes sur le déplacement des Allemands de souche de Bessarabie et de Dobroudja au local Evertz à Moresnet.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 8.

Soirée sportive du groupe de filles 3 Wesertal à l’hôtel Bosten.

Le Reichsarbeitsblatt contient un règlement tarifaire pour les trayeurs. En Rhénanie, le règlement tarifaire a été étendu aux arrondissements d’Eupen et de Melmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.01.1941, p. 5.

La déclaration des biens des Juifs est entrée en vigueur dans les arrondissements d’Eupen et de Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 8.

Le Front ouvrier allemand a organisé un cours de « comptabilité pour le commerce de détail » à l’école de filles de Schilsweg.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Le chef de la section SA 31/174 Eupen a organisé une soirée de camaraderie à l’hôtel thermal Bredohl. Étaient présents, entre autres, le sturman SA Breuer, Cremer ainsi que Hans Malmendier, le Sturmführer Deneffe, le chef de la brigade et Oberführer Dahlem, le premier-lieutenant Meher, le responsable du groupe local Rexroth et Stahen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.01.1941, p. 5.

Soirée de conférence pour les femmes sur le déplacement des Allemands populaires de Bessarabie et de Dobroudja par la responsable du Gau de Cologne au local de Bauens à Hergenrath.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.01.1941, p. 8.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 7.

L’arrondissement d’Eupen a été intégré dans le groupe de district Aix-la-Chapelle-Cologne du groupe économique de l’industrie textile.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 7.

Le Gaufilmstelle a projeté le film « Opernball » à Walhorn.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.01.1941, p. 5.

Soirée de conférence pour les femmes sur le déplacement des Allemands de souche de Bessarabie et de Dobroudja par la responsable du Gau de Cologne à Raeren et Kettenis.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.01.1941, p. 7.

Consultations pour mères dans l’arrondissement d’Eupen. Les mères ont la possibilité de faire examiner leurs bébés gratuitement.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.01.1941, p. 3.

Les chefs de service et de cellule de l’arrondissement d’Eupen se sont réunis dans leurs groupes locaux. Les thèmes abordés étaient notamment l’histoire allemande de Charlemagne à la paix de Westphalie en 1648 et un exposé sur le judaïsme.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.01.1941, p. 3.

Activité de la gendarmerie en décembre 1940, notamment une activité hostile à l’État, six dénonciations d’infractions aux dispositions de protection des Juifs, etc.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a projeté le film « Opernball ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.01.1941, p. 3.

La collecte d’argent du Gau en faveur de l’œuvre du Secours d’hiver du peuple allemand dans l’arrondissement d’Eupen a été un succès : 9.300 RM

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.01.1941, p. 5.

A l’occasion de la Journée du timbre, une oblitération spéciale a été émise à Eupen. (Du 11.01.1941 au 12.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 7.

Le Gaufilmstelle a projeté le film « Opernball » à Hergenrath, au local de Bauens.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.01.1941, p. 5.

Une association d’élevage d’étalons a été créée dans l’arrondissement d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 7.

La première soirée de camaraderie des services de Herbesthal, de la maîtrise ferroviaire et des ateliers d’exploitation de la Reichsbahn allemande dans la salle Bredohlchen à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.01.1941, p. 5.

Mädchen im Vorzimmer au Capitol à Eupen ; Eine kleine Nachtmusik au Schauburg à Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 12.

Réunion pour les éleveurs de moutons et les personnes intéressées.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 7.

A l’occasion de l’ouverture d’une nouvelle maison de cure à Aix-la-Chapelle, la brigade SA 76 organise une marche des drapeaux à travers Aix-la-Chapelle, à laquelle participent également pour la première fois des SA d’Eupen et de Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.01.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 12.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 12.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 12.

La société d’horticulture d’Eupen s’est jointe au Reichsnährstand.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.01.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.01.1941, p. 5.

L’administration du district d’Eupen a organisé une soirée musicale « Perles du divertissement » à l’hôtel de cure d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.01.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.01.1941, p. 5.

Chef d’arrondissement d’Eupen : Stephan Gierets. Responsables de groupes locaux : Eupen-Hôtel de Ville (Walther Rexroth) ; Eupen-Vesdre (Johann Stahen) ; Kettenis (Peter Thissen) ; Herbesthal (Bernhard Dohmen) ; Moresnet (Josef Kriescher) ; Raeren (Wilhelm Kalff) ; Montzen (Erich Peters)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.01.1941, p. 5.

L’école primaire a été rebaptisée école Horst Wessel. L’école de Raeren-Berg a été rebaptisée Josef-Ponten-Heim et a servi de bâtiment pour la jeunesse hitlérienne et pour le Bund deutscher Mädel.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.01.1941, p. 5.

Le service de dépannage radio a commencé à fonctionner dans l’arrondissement d’Eupen afin d’offrir une aide gratuite en cas de perturbations radio.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.01.1941, p. 5.

Le Reichsjugendführer a reçu à Berlin les dirigeants des groupes de la jeunesse hitlérienne des régions nouvellement conquises, entre autres Eupen-Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.01.1941, p. 3.

Dans la région d’Aix-la-Chapelle, tous les magasins ont dû fermer leurs portes à 18 heures. Les magasins d’alimentation étaient exclus (jusqu’à 19 heures). Néanmoins, de nombreux clients ne se sont présentés dans les magasins fermés qu’après 18 heures.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.01.1941, p. 5.

Les mères qui se sont rendues au centre de consultation d’Eupen ont reçu gratuitement du Vigantol.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.01.1941, p. 5.

Une femme de 70 ans a commencé à se suicider parce qu’elle ne voulait pas aller à la maison de retraite.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.01.1941, p. 5.

La direction de district du NSDAP organisa une série de manifestations intitulée « Die Fahne hoch ! Deutschland bestimmt die Zukunft ! » à Eupen, Raeren et Walhorn le 18 janvier 1941 ainsi qu’à Eynatten, Moresnet, Lontzen, Kettenis, Hauset, Hergenrath, Welkenraedt et Montzen. Il était prévu que des orateurs du Reich, des Gau et des Kreis prennent la parole.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.01.1941, p. 5.

23 personnes de l’arrondissement d’Eupen ont participé à une formation de dix jours organisée par la Nationalsozialistische Volkswohlfahrt (NSV) à Venau. (Du 18.01.1941 au 27.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.01.1941, p. 5.

Des manifestations du NSDAP en l’honneur d’Adolf Hitler ont eu lieu dans le Gau de Cologne-Aix-la-Chapelle. Egalement à Eupen, Raeren, Walhorn,Morsenet, Lontzen, Eynatten, Welkenraedt, Hergenrath et Kettenis. (Du 18.01.1941 au 19.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.01.1941, p. 5.

Le Bund deutscher Mädel et la NS-Frauenschaft organisent avec le Reichskolonialbund une soirée de conférences sur le « mensonge de la culpabilité coloniale » à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.01.1941, p. 5.

Les associations locales de Raeren ont organisé une soirée festive au profit de Winterhilfswerk des Deutschen Volkes (WHW) dans le restaurant de Ludwig Pesch.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.01.1941, p. 5.

Dans le derby local, Jugend Eupen a gagné 2-1 contre le FC Eupen 1920.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a projeté le film du congrès du parti « Le triomphe de la volonté » à Lontzen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.01.1941, p. 5.

L’avocat Dr. jur. Eberhard Knops d’Eupen a été nommé par le ministre du Reich, Dr. Frank, nouveau chef du NS-Rechtswahrerbund dans l’arrondissement d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.01.1941, p. 5.

Karl Willems devient le nouveau responsable local du Front ouvrier allemand (DAF) dans l’arrondissement d’Eupen. L’administration locale d’Eupen a été divisée en deux, conformément aux sections locales du NSDAP : Eupen-Hôtel de ville et Eupen-Vallée de la Vesdre.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.01.1941, p. 5.

La Frauenamit der Deutschen Arbeiterfront a organisé une soirée d’information pour les assistantes ménagères.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.01.1941, p. 5.

Le tribunal a traité les cas suivants : 1) Infractions relatives aux passeports et aux devises. 2) la contrebande.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.01.1941, p. 5.

Le Front ouvrier allemand a critiqué les entreprises d’Eupen pour les mauvaises mesures de protection de leurs ouvriers.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a projeté le film du congrès du parti « Le triomphe de la volonté » au Capitole d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.01.1941, p. 5.

L’Institut für Grenzlandkunde de la TH a abordé des questions d’actualité et a également évoqué les nouveaux arrondissements d’Eupen et de Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.01.1941, p. 5.

Dernière projection du film « Le Triomphe de la Volonté » à Eupen à l’hôtel Bosten.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

La police a arrêté trois personnes pour infraction à l’ordonnance sur l’économie de guerre. Ils n’avaient pas respecté les restrictions et avaient accumulé des marchandises.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.01.1941, p. 5.

Ouverture d’une succursale de la caisse d’épargne pour la région de Lontzen-Herbesthal-Welkenraedt.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.01.1941, p. 5.

Appel à tous les handicapés de l’arrondissement d’Eupen de s’annoncer auprès des bourgmestres en vue d’une pension.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

Formation pour les employés de l’administration fiscale afin de se familiariser avec le système fiscal allemand.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

L’association des propriétaires fonciers de l’arrondissement d’Eupen s’affilie au Reichsbund der Haus- und Grundbesitzer. Des questions fiscales ont également été discutées lors de l’assemblée générale. Conçu comme le pendant de la Reichsdeutsche Landsmannschaft à Berlin, le groupe bruxellois souhaite profiter des contacts entre les personnes originaires des Cantons de l’Est et celles vivant en Vieille Belgique pour s’orienter vers la Belgique.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

Des réunions d’entreprise du Front ouvrier allemand ont eu lieu dans les entreprises Peters & Co et von Asten à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a projeté le film du congrès du parti « Le Triomphe de la Volonté » à Eynatten et Hauset. (Du 27.01.1941 au 28.01.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.01.1941, p. 5.

Le chef de territoire de la région Cologne-Ouest-Aix-la-Chapelle a inspecté les Jeunesses hitlériennes à Eupen-Malmedy et a été accueilli par 305 jeunes à la Maison des Jeunes à Eupen. Après son inspection à Eupen, il s’est rendu à Raeren et a visité le nouveau foyer pour la jeunesse hitlérienne locale.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.01.1941, p. 5.

Heinrichskapelle : le bétail d’un agriculteur local présentait des signes d’intoxication, si bien que la police a fait analyser le fourrage.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a projeté le film du congrès du parti « Le triomphe de la volonté » à Welkenraedt.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Burtscheider SV 3:3 Union Kelmis

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

L’association des femmes nazies de la section locale d’Eupen-Hôtel de Ville et d’Eupen-Vallée de la Vesdre a organisé une soirée cinéma pour les femmes à l’hôtel de cure Bredhol.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Une réunion de l’organisation des artisans s’est tenue dans la salle de réunion du Front ouvrier allemand et ils ont parlé des effets positifs de la réunification avec l’Allemagne.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Toutes les personnes intéressées pouvaient déposer une demande auprès de la communauté nazie « Kraft durch Freude » afin de recevoir un wagon KDF.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.01.1941, p. 6.

August Völl, directeur des services municipaux du gaz et de l’eau à Eupen, a été nommé nouveau chef du service d’assistance technique. De plus, il a été élevé au rang d’Oberscharführer.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.01.1941, p. 5.

Karl Rutté a été nommé inspecteur en chef d’arrondissement, Paul Schillings, inspecteur d’arrondissement, Josef Vogts, inspecteur d’arrondissement, Hubert Ramakers, inspecteur des travaux publics et Jos. Reder et Math. Secrétaires en chef de district de Vilvoye.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Le Gaufilmstelle a projeté le film du congrès du parti « Le triomphe de la volonté » à Kettenis.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.01.1941, p. 6.

Une conférence sur la protection de la jeunesse et le conseil juridique s’est tenue à l’hôtel Bosten. Cette réunion s’inscrivait dans une série d’événements où des explications avaient déjà été données sur la protection du travail, l’agence pour l’emploi et l’administrateur judiciaire.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.01.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Le géomètre-conseil Behr est le nouveau directeur du cadastre d’Eupen. L’ancien directeur Sammer a été nommé à la tête du bureau du cadastre de Ziegenhain.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.01.1941, p. 5.

Boulanger, tailleur pour dames, meunier, mécanicien et constructeur de machines (Du 01.02.1941 au 28.02.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.03.1941, p. 9.

Assemblée de la Reichskolonialbund à l’hôtel de cure Bredohl à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Dans la salle de réunion de la direction du district se sont réunis les chefs des groupes locaux, les chefs des bureaux de district et les chefs de section les plus haut placés. Ils ont discuté de la construction de logements et de la mise en place d’une bibliothèque populaire.

Sources

Westdeutscher Beobachter, 03.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

(Du 03.02.1941 au 06.02.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.02.1941, p. 7.

Les pompiers ont éteint un incendie dans la menuiserie Mattar à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.02.1941, p. 5.

Alemannia Mariadorf 8:2 Jugend Eupen ; Lura Aachen 1:5 Union Kelmis ; Eynatten 1:9 VFB 05 Aachen ; Reichsbahn Aachen vs. FC Raeren : Match annulé

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.02.1941, p. 6.

Le prince August Wilhelm, quatrième fils de l’empereur Guillaume II, a pris la parole lors d’une grande manifestation à l’hôtel thermal Bredohl à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.02.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.02.1941, p. 5.

Un homme de 32 ans et un homme de 18 ans se sont attaqués à un enfant de 8 ans.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.02.1941, p. 5.

Afin de pallier le manque de jeunes dans l’industrie textile, une collaboration plus étroite avec l’agence pour l’emploi a été mise en place.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.02.1941, p. 5.

Sur invitation de la municipalité d’Eupen, le théâtre municipal est venu à Eupen le 7 février 1941.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.01.1941, p. 5.

Dans le cadre d’une présentation, l’inspecteur en chef des douanes Thielen a montré des images faites maison de la guerre actuelle.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.02.1941, p. 9.

Le chef de groupe SA Prinz August Wilhelm a pris la parole à l’hôtel thermal Bredohl et a évoqué les réalisations d’Adolf Hitler.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.02.1941, p. 10.

Des adjoints ont été nommés : Mennicken-Lenz, maître menuisier, Gerhard Huby, agriculteur, et Wilhelm Weber, employé des chemins de fer.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 1.02.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.02.1941, p. 9.

Le Reichsjugendführer Axmann est d’abord venu à une réunion à la frontière « Köpfchen » pour rencontrer les troupes des localités environnantes. L’après-midi, nous nous sommes rendus à l’inauguration du nouveau logement de la HJ dans le château de Stockem. Plus tard, il a continué à s’installer à Raeren et à Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.02.1941, p. 5.

Réunion d’entreprise à l’atelier de maintenance ferroviaire.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.02.1941, p. 5.

Le président d’arrondissement Martini du Front ouvrier allemand a rendu visite aux travailleurs de nuit dans une entreprise de l’arrondissement d’Eupen. (images disponibles)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.02.1941, p. 5.

Toutes les jeunes filles du commerce, de l’artisanat et de l’industrie ont été invitées à une réunion dans la salle de réunion de la DAF.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.02.1941, p. 5.

La directrice du département de politique raciale du Gau de Cologne, Mme Dreibholz, a tenu une conférence et projeté les films « Erbkrank » et « Was du ererbst ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.02.1941, p. 5.

La directrice du département de politique raciale du Gau de Cologne, Mme Dreibholz, a tenu une conférence et projeté les films « Erbkrank » et « Was du ererbst ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.02.1941, p. 5.

La société d’horticulture d’Eupen a encouragé ses membres et les personnes intéressées à cultiver assidûment des aliments dans leurs jardins. Cette campagne faisait partie de la « bataille de l’alimentation » déclarée par Hitler.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.02.1941, p. 5.

Monsieur Wolff, chef de district et chef de la camaraderie du NSDAP, a reçu du Führer la « médaille pour l’entretien du peuple allemand ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.02.1941, p. 5.

Une croix de chemin de Raeren, érigée en 1581 et portant entre-temps une croix gammée, a été réinstallée en face de l’hôtel de ville d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.02.1941, p. 5.

Les pimpes de la jeunesse hitlérienne de Cologne en camp d’hiver à Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.02.1941, p. 5.

Les jeunes nés entre 1929 et 1931 devaient se présenter au service de la bande de la jeunesse hitlérienne à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.02.1941, p. 5.

L’épargne des habitants des arrondissements auprès de la Banque de l’État belge a été reprise par la Caisse d’épargne d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.02.1941, p. 9.

La communauté nazie « Kraft durch Freude » organisait des projections de films de contes pour enfants.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.03.1941, p. 8.

A l’occasion de la « Journée du cinéma » dans tout le royaume, le film « Das Verlegenheitskind » a été projeté au Capitole d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.02.1941, p. 5.

Le Gaufilmstelle a présenté le film de soldats « Das Gewehr über » à Raeren.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.02.1941, p. 5.

Madame veuve Leonhard Gilles, habitant Klötzerbahn 12, a atteint l’âge de 92 ans. Elle était membre du Front de la fidélité à la patrie.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.02.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.02.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Cours industriels, commerciaux et agricoles.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Eynatten 3:3 Schwarz-Weiß ; Aix-la-Chapelle ; Union Kelmis 7:2 Raeren

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Le sujet était les contrats de fermage et l’attribution de fourrage.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Le Gaufilmstelle a projeté le film de soldats « Das Gewehr über » à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.02.1941, p. 5.

Le premier duel, il y a quelques semaines, s’était soldé par un score de 10 à 2 pour Eupen et Eschweiler.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.02.1941, p. 11.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.02.1941, p. 5.

Consultations pour mères à Lontzen, Hergenrath, Walhorn, Kettenis, La Calamine, Neu-Moresnet, Eupen-Ville Haute. (Du 24.02.1941 au 27.02.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.02.1941, p. 7.

L’événement comprenait des conférences de la section de district du NSDAP en liaison avec la SS et des chants.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.02.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.02.1941, p. 7.

Réunion des agriculteurs à Raeren avec pour thèmes les questions de fermage, la distribution de fourrage, la coopérative d’élevage de taureaux.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.02.1941, p. 7.

Infraction à l’ordonnance sur les prix et au commerce des devises, vol de bicyclette, délit de chasse.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.02.1941, p. 7.

Une réunion des boulangers de la ville et de la campagne d’Eupen s’est tenue à l’hôtel de cure Bredohl à Eupen sous la direction du chef de l’intendance et maître artisan d’arrondissement Walter Deneffe. Le thème était les questions de droit du travail et de droit des entreprises.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.02.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.02.1941, p. 5.

Le Dr Otto Mahr a été remplacé par Willy Maier. Mahr a été muté à la direction principale de la publication à Cologne.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.02.1941, p. 5.

Sur proposition du chef de district NSDAP Gierets et avec l’accord du Landrat à Eupen :

L’industriel Peter Schunk : 1er adjoint de la commune de Kettenis
Dessinateur Gerhard Breuer : 2e adjoint commune de Kettenis
Le surveillant de tramway Wilhelm Birken : Bourgmestre d’Eynatten
Coiffeur Karl Johae : 1er adjoint de la commune d’Eynatten
Hubert Hennen, agriculteur : 2e adjoint de la commune d’Eynatten
Agriculteur Matthias Connote : Maire Walhorn
Waldemar Funke, agriculteur : 1er adjoint de la commune de Walhorn
Agriculteur Leonhard Kessel : 2e adjoint Commune de Walhorn

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.02.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.04.1941, p. 5.

Cavalier-storm 8/76 a organisé des promenades à cheval et en voiture pour les enfants à l’occasion de la collecte à domicile et dans la rue.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.02.1941, p. 5.

Le Théâtre régional rhénan a présenté la pièce « Le pays du sourire » les 2 et 15 mars à Eupen. (Du 02.03.1941 au 15.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.02.1941, p. 5.

(Du 02.03.1941 au 09.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.03.1941, p. 9.

La représentation théâtrale « Le pays du sourire » à la Maison des Jeunes d’Eupen a presque fait salle comble, si bien qu’il y a eu une deuxième représentation le 15 mars 1941.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Welkenraedt, Herbestahl, Eupen-sous-Ville, Eynatten, Hauset, Lichtenbusch, Raeren. (Du 03.03.1941 au 08.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Oberamtsrichter Schäfer ; Amtsgerichtsrat Dr. Deller ; Assessor Dr. Elsner von Gronow

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.03.1941, p. 9.

Rhenania Rothe-Erde 7:2 Club de gymnastique d’Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.03.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.03.1941, p. 6.

Deux semaines de prison pour vol de vélo (auteur Willy Maier)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.03.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.03.1941, p. 9.

Jugend Eupen 4:0 Sportvereinigung Malmedy ; Kohlscheider SC 6:1 Raeren ; Aachen Forst 3.2 Union Kelmis ; Aachener SC 8:1 Eynatten

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.03.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.03.1941, p. 5.

Cas : amende de 50 RM pour coups et blessures

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.06.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.03.1941, p. 9.

Les habitants de Kettenis, Eynatten, Walhorn et Kettenis se sont réunis à Hauset. Dans tout le district, les drapeaux à croix gammée.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.03.1941, p. 5.

17 mars : Welkenraedt-Herbestahl ; 18 mars : Eupen-Ville basse ; 20 mars : Montzen et Bleiberg (Du 17.03.1941 au 20.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.03.1941, p. 5.

Jugements pour vol de poules (4 mois de prison), avortement (4 mois de prison) et sortie non autorisée d’un hôpital (amende de 75 RM).

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.03.1941, p. 5.

Tous les chefs de troupe des bans d’Eupen, de Malmedy et de Monschau pour une formation d’un week-end à Malmedy. (Du 22.03.1941 au 23.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.03.1941, p. 8.

Récompense par le guide pour ses loyaux services depuis 25 ans.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.04.1941, p. 4.

Les anciens soldats du NS-reichskriegerbund, du NS-Marinebund et du NS-Kriegsopferversorgung, entre autres, sont venus. Il y a eu un match de foot, de la musique et la goulaschkanone.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

(Du 24.03.1941 au 27.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Date limite d’inscription des juments au stud-book rhénan pour les régions d’Aix-la-Chapelle et d’Eupen-Malmedy. (Du 25.03.1941 au 28.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.01.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.03.1941, p. 7.

Tentative de délit de passeport (5 RM + 1 jour de prison), fraude fiscale (50 RM d’amende), violation de domicile (100 RM d’amende)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.03.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.03.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Exportateur Joseph Bohn Maire Hauset ; Agriculteur Peter Zimmermann 1er adjoint Hauset ; magasinier Joseph Frings 2e adjoint Hauset

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.03.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Le SS Josef Thielen a épousé Anna Maria Theresia Leisner à Raeren. Les témoins de mariage étaient le chef de tribu Josef Haas et l’ingénieur Simon Zander. Les autres invités étaient le chef d’escorte Leo Keutgen et la chef de groupe Elisabeth Vorhagen, le chef de district Gierets, la chef de district Herwanger, le chef d’assaut Marquet, la sous-chef Bredohl.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

Le chef de la Sturm 21, Motorenstandarte 76, l’Oberscharführer Bredohl a organisé une soirée de camaraderie du NSKK.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

L’appel au service de guerre a eu lieu le samedi et le dimanche après différentes réunions des bureaux, de la NS-Frauenschaft et du NSDAP. (Du 29.03.1941 au 30.03.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Des réunions ont eu lieu à La Calamine, Hergenrath, Wallhorn, Raeren et Kettenis.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

(Du 30.03.1941 au 06.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.03.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.03.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Les groupes d’enfants de l’Œuvre allemande d’entraide féminine des sections locales de Rathaus et Wesertal ont fait leurs adieux aux enfants qui étaient désormais admis dans la HJ.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.03.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

Le chef d’arrondissement Gierets et le SA-Oberbannführer Bonner encouragent la population masculine de l’arrondissement d’Eupen à s’engager dans les SA.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

Création prévue d’écoles professionnelles et d’écoles spécialisées dans l’arrondissement d’Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.03.1941, p. 5.

Prolongation des heures d’ouverture jusqu’à 22 heures en raison de l’heure d’été.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

Consultations pour mères à Eupen-sous-Ville, Eynatten, Hauset, Lichtenbusch et Raeren. (Du 01.04.1941 au 03.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.03.1941, p. 9.

L’Aachener Turnerbund a gagné 7:5 contre l’Eupener Turnerverein.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 03.04.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 03.04.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 02.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 03.04.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

L’ancien colonel Kurt von Klüfer a fait une présentation de photos à l’hôtel Bosten à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.04.1941, p. 5.

Welkenraedt-Herbestahl, La Calamine-Neu-Moresnet, Eupen-Haute-Ville. (Du 06.04.1941 au 10.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.04.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.04.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

Cologne 4:6 Jeunesse Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

Étaient notamment présents le SS-Sturmführer Marquet.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

Tous les panneaux de rue des Juifs à Eupen ont été supprimés. Un nouveau nom devrait suivre.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.04.1941, p. 9.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Les procédures judiciaires à partir du 18 mai 1940 pouvaient être poursuivies dans les tribunaux allemands à partir du 8 avril 1941.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.04.1941, p. 5.

Une accusation de fraude fiscale a été abandonnée.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.04.1941, p. 3.

Le nouveau club s’appelait désormais « TSV 1893 Raeren ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.04.1941, p. 4.

D’Eupen : Alfons Bormann, Adolf Theß, Heinrich Crott, Klaus Rennertz. De Raeren : Leo Huby.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 08.04.1941, p. 5.

(Du 11.04.1941 au 16.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

« Du premier mariage » au Capitole d’Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.06.1941, p. 8.

Cologne 5:0 Jeunesse Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.04.1941, p. 5.

Eupen-Malmedy 3:5 Aix-la-Chapelle

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.04.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

Le professeur Dr Schmidt de l’université de Bonn a tenu une conférence à l’hôtel Bredohl sur le thème « Fondements historiques de l’arrogance britannique ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

Le directeur de l’école NSV de Venauen a pris la parole.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.04.1941, p. 4.

La Calamine-Neu-Moresnet, Eupen-Ville Haute. (Du 22.04.1941 au 24.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 24.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 21.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Dans la salle de réunion de l’hôtel thermal Bredohl, le président du Gaugericht a parlé de la réunification des arrondissements d’Eupen et de Malmedy avec l’Allemagne.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.04.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 25.04.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

« Friedrich Schiller » au Schauburg ; « Nuit de noces » au Capitol ; « Sieg im Westen » au Lichtburg à La Calamine : « Wunschkonzert » au Metropol à Welkenraedt

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 5.

(Du 26.04.1941 au 10.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 6.

Moresnet, Raeren et Kettenis. (Du 26.04.1941 au 27.04.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.04.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.04.1941, p. 5.

A l’occasion de la semaine de promotion de l’aviation, le film « F. III 88 » a été projeté. Intervenaient le vice-président de la Commission européenne Standartenführer NSFK Obersturmführer Pehl de Cologne et inspecteur régional Truppführer Roscheid.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

Le discours a eu lieu à l’hôtel de cure Bredohl à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 5.

10 jeunes filles de l’arrondissement d’Eupen (8 d’Eupen, 2 de La Calamine) ont fait leur année de campagne à Viermünden. 5 garçons de l’arrondissement d’Eupen (4 d’Eupen, 1 de La Calamine) ont fait leur année à la campagne à Neumünden.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

9 membres de la WFB Peters & Co, 24 des usines de laine peignée, 8 de la WFB von Aasten, 16 de la fabrique de chocolat, 10 des usines textiles d’Eupen, 4 de la Fa. Bruch & Co Herbestahl et 16 des usines de câbles.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.04.1941, p. 4.

Dix soirées étaient prévues.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.04.1941, p. 4.

Lontzen, Hergenrath, Walhorn et Kettenis.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Hauset, Hergenrath, Walhorn, Raeren, Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.03.1941, p. 5.

Le cours préparait les mères à l’éducation de leurs enfants par le jeu, la musique, etc.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Match de jeunes : Burtscheid 1:7 FC Eupen 1920 ; VfL 05 Aachen 4:0 Raeren

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 5.

Équipe de bannissement 9:3 Turngemeinde Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

On s’attendait à ce que 800 garçons et filles s’inscrivent.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

Amende de 20 RM ou 10 jours de prison pour avoir sali la gouttière d’un grenier à Eupen. 92,25 RM d’amende ou 20 de prison pour une infraction à la réglementation des prix et un délit de change.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

L’inspecteur d’arrondissement Heinrich Mirgel a été nommé inspecteur en chef d’arrondissement et l’employé administratif Heinrich Bertling a été nommé secrétaire en chef d’arrondissement.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.05.1941, p. 4.

À La Calamine, le plus grand sac à frites du monde est rempli de 1,2 tonne de frites.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.04.1941, p. 4.

Intervenait Hamacher, administrateur du Gaufach.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.05.1941, p. 6.

2ème équipe de sélection de la banane Eupen 673 vs 2ème équipe de sélection de la banane Geilenkirchen 389.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.05.1941, p. 4.

La dirigeante des femmes du Reich a donné une conférence sur « les tâches des femmes allemandes pendant la guerre » à la maison de cure de Bredohl.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.04.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.05.1941, p. 6.

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• Westdeutscher Beobachter, 06.05.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.05.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 7.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.05.1941, p. 5.

(Du 10.05.1941 au 11.05.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 7.

(Du 10.05.1941 au 11.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 7.

Le responsable du groupe local Kalff a reçu une plaquette de guide pour ses mérites pendant et après la domination étrangère.

Katharina Masseng et Sophie Lohmeyer une médaille pour services rendus à la cause populaire.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 7.

Le groupe local Eupen-Wesertal a organisé une fête à l’hôtel Bosten.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.05.1941, p. 5.

Le maire de la ville hanséatique de Brême, le SA-Obergruppenführer Böhmker, et le président du Reichsbund für Haus und Grundbesitzer SA-Standartenführer Tribius ont pris la parole.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 8.

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• Westdeutscher Beobachter, 12.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 12.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 13.05.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 13.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.05.1941, p. 5.

Hombourg, Sippenaeken, Vieux-Moresnet, La Calamine-Nouvelle-Moresnet, Moresnet, Montzen, Bleyberg et Gemmenich. (Du 14.05.1941 au 15.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.05.1941, p. 7.

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• Westdeutscher Beobachter, 13.05.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 14.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.05.1941, p. 5.

Les clubs de tir d’Eupen-Malmedy étaient déjà affiliés à la Fédération allemande des tireurs.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 16.05.1941, p. 4.

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Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.05.1941, p. 4.

« Kampfgeschwader Lüztow » au Capitole d’Eupen ; « Der liebe Augustin » au Metropol-Theater de Welkenraedt ; « Frau im Strom » au Lichtburg de La Calamine.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 11.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 10.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 10.

Intervenait le chef d’état-major des SA, Viktor Lutze.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

(Du 19.05.1941 au 21.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.04.1941, p. 4.

Membach, Baelen, Eupen-ville basse. (Du 19.05.1941 au 20.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 10.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

La réunion a eu lieu à l’hôtel de cure Bredohl à Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 15.05.1941, p. 4.

Les directrices des départements de la région frontalière ont pris la parole.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

(22.05.1941 au 29.05.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.05.1941, p. 11.

Deux ans de prison pour le voleur

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 22.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 21.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

Stage de formation pour le service intermédiaire simple de l’administration communale, de la caisse et de la caisse d’épargne à Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 9.

Le directeur des usines de laine peignée et responsable de la section locale d’Eupen-Vallée de la Vesdre, Hans Stahen, ainsi que le chef des agriculteurs locaux à Kettenis et responsable du département d’arrondissement d’Eupen, l’agriculteur Josef Pauquet du domaine de Libermé, ont été nommés députés.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.05.1941, p. 4.

Lontzen, Hergenrath, Walhorn, Kettenis et La Calamine-Nouvelle-Moresnet. (Du 26.05.1941 au 27.05.1941 )

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.05.1941, p. 7.

(Du 28.05.1941 au 02.07.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.05.1941, p. 4.

Trois personnes se sont livrées à la contrebande (peine : 6 mois de prison. 4 mois + 2 semaines et 3 mois + 1 semaine) ; franchissement illégal de la frontière par des Belges (10 jours de prison) ; délit de chasse (acquittement).

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.05.1941, p. 4.

Des matchs de football ont été organisés et Raeren a accueilli une démonstration de gymnastique et de promotion de la nouvelle association TSV 1893 Raeren.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 29.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 26.05.1941, p. 5 ; 29.05.1941, p. 4.

Une grande fête a été organisée au Lichtburg de La Calamine.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.05.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

Fraude à la vente de porc

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

Points du jour : 1) contracter un emprunt pour l’achèvement du gymnase et de la salle de sport, de la maison du gardien, ainsi que pour la poursuite de l’assèchement du terrain de jeu du terrain de sport municipal. 2) Approbation des comptes de la caisse municipale. 3) Désignation de comités consultatifs. 4) Aménagement de la Judenstrasse. 5) perception d’une taxe de séjour. 6) Nouvelle grille tarifaire pour l’abattoir. 7)Installation d’un nouveau four à chambre pour l’usine à gaz

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 30.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 4.

Des cours ont eu lieu à Raeren, Herbesthal-Welkenraedt, La Calamine et Eupen. Mme Reuß a enseigné aux candidats féminins, le Dr Maraite aux candidats masculins.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

Les thèmes abordés ont été la garantie des récoltes, l’abattage des produits, l’exposition de chevaux du district, la surveillance des exploitations, les dégâts causés par le gibier et la coopération.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.06.1941, p. 4.

« Der Weg ins Freie » au Capitol à Eupen ; « Der liebe Augustin » au Schauburg à Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 8.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.06.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.06.1941, p. 4.

Hombourg, Sippenaeken, Vieux-Moresnet, La Calamine-Nouveau-Moresnet, Eupen-Ville Haute. (Du 09.06.1941 au 12.06.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.06.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 10.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.06.1941, p. 4.

Commerce de détail Blaesgen et Müllender Eupen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 12.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.06.1941, p. 3.

Infraction à la loi sur l’inspection des viandes. 150RM d’amende ou 15 jours de prison

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.06.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

A l’occasion de la collecte, les armoiries des villes qui sont rentrées dans l’Empire sont vendues, entre autres Eupen, Malmedy et Saint-Vith.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 11.06.1941, p. 4.

(Du 14.06.1941 au 15.06.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.06.1941, p. 8.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.06.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.06.1941, p. 7.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.06.1941, p. 3.

Membach, Baelen, Eupen, Montzen, Bleiberg et Gemmenich. (Du 16.06.1941 au 19.06.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.06.1941, p. 7.

Eupen 3:12 Rothe Erde

Quellen

• Westdeutscher Beobachter, 16.06.1941, S. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 13.06.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 31.05.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.06.1941, p. 4.

Prison pour quatre voleurs de gibier.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 18.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 20.06.1941, p. 4.

L’exposé a été présenté par le premier-lieutenant W. Thielen.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.06.1941, p. 3.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

(Du 21.06.1941 au 23.06.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 16.06.1941, p. 3.

« Ohm Krüger » au Capitole d’Eupen.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 21.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 24.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 24.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 21.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 19.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.06.1941, p. 4.

Lontzen, Hergenrath, Walhorn, Kettenis, La Calamine-Nouvelle-Moresnet et Eupen-Ville Haute. (Du 23.06.1941 au 24.06.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 21.06.1941, p. 4.

Eupen 4:6 Alsdorf

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• Westdeutscher Beobachter, 23.06.1941, p. 6.

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• Westdeutscher Beobachter, 20.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.06.1941, p. 6.

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• Westdeutscher Beobachter, 24.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.06.1941, p. 4.

8 mois de prison et 500 RM d’amende pour trafic illicite et délit de prix ; 10 mois pour faux monnayage

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• Westdeutscher Beobachter, 25.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 15.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 26.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 25.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.06.1941, p. 6.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.06.1941, p. 6.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 27.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.06.1941, p. 8.

« Le rossignol suédois » au Capitole d’Eupen ; « La porte qui chante ».

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 28.06.1941, p. 8.

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• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 28.06.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.06.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

Dürener Spielvereine 06 1:6 Jeunesse d’Eupen ; FC Eupen 2 2:1 Jeunesse d’Eupen 3 ; Raeren 3:3 Association sportive de Moresnet

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• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 21.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 03.07.1941, p. 4.

Sources

Westdeutscher Beobachter, 01.07.1941, p. 5.

3 mois de prison pour vol ; 20 RM ou 50 RM pour une infraction à l’ordonnance sur les règles de consommation ; 2x 50 RM d’amende pour avoir dépassé le prix maximum et aidé à rompre le ban ; 150 RM d’amende pour avoir utilisé illégalement ses titres de transport de la Wehrmacht.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 02.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 02.07.1941, p. 3.

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• Westdeutscher Beobachter, 27.06.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 03.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 02.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

(Du 05.07.1941 au 06.07.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

(Du 05.07.1941 au 11.07.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 04.07.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 06.08.1941, p. 4.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

« Au revoir Franziska » au Capitole d’Eupen ; « Concert de souhaits » au Schauburg d’Eupen

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

Welkenraedt-Herbesthal, Heinrichskapelle, La Calamine, Eupen-Ville Haute. (Du 07.07.1941 au 08.07.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

Werle est devenu le nouveau délégué pour le ban d’Eupen-Malmedy.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

Eupen 6:10 Bensberg

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 07.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 05.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 09.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 12.07.1941, p. 4.

(Du 12.07.1941 au 13.07.1941)

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 17.07.1941, p. 4.

« … reitet für Deutschland » au Capitol à Eupen ; « Diskretion – Ehrensache » au Metropol à Welkenraedt

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• Westdeutscher Beobachter, 12.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 09.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 16.07.1941, p. 4.

Hombourg, Sippenaeken, Vieux-Moresnet, Eupen-ville basse, Montzen, Bleyberg, Gemmenich. (Du 14.07.1941 au 17.07.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 12.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 15.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 22.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 22.07.1941, p. 4.

(Du 17.07.1941 au 29.07.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 18.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 14.07.1941, p. 4.

« U-Boote westwärts » au Capitole d’Eupen Gasparone au Schauburg.

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• Westdeutscher Beobachter, 19.07.1941, p. 8.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 17.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 01.08.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 08.08.1941, p. 4.

Membach, Baelen, La Calamine, Eupen-Ville Haute. (Du 21.07.1941 au 24.07.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 19.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 22.07.1941, p. 4.

Moresnet 1:14 Jeunesse Eupen

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• Westdeutscher Beobachter, 22.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 26.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 25.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 24.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 24.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 25.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 23.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 26.07.1941, p. 4.

(Du 26.07.1941 au 03.08.1941)

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• Westdeutscher Beobachter, 23.07.1941, p. 4.

« Fraternité de sang » au Capitole d’Eupen

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• Westdeutscher Beobachter, 26.07.1941, p. 5.

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• Westdeutscher Beobachter, 28.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 30.07.1941, p. 4.

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• Westdeutscher Beobachter, 28.07.1941, p. 4.

Lontzen, Hergenrath, Walhorn, Kettenis.

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• Westdeutscher Beobachter, 26.07.1941, p. 5.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 25.07.1941, p. 4.

Violation de l’interdiction d’exportation de pommes de terre : 1 mois de prison ; vol de poteaux de bois du Westwall : 3 mois de prison.

Sources

• Westdeutscher Beobachter, 30.07.1941, p. 4.